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Saludos compañeros !

Discussion dans 'Présentations des nouveaux membres' créé par herdé, 21 Janvier 2018.

  1. herdé
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    herdé Membre du forum

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    Jan 2018
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    Je suis un vieil anar (70 ans et + de 50 ans d'activisme) d'origine espagnole, habitant la région de Béziers. Nous sommes quelques uns (pas très nombreux et plutôt des "vieux") à essayer de lutter contre la fascisation des esprits, qui malheureusement gagne de plus en plus de terrain : on peut considérer que plus de 50% de la population de la région adhère aux idées d'extrême-droite. Donc, ce n'est pas gagné, mais il faut encore et toujours continuer à lutter (les combats les plus désespérés ne sont-ils pas les plus beaux ?).
    Sinon, je suis arrivé chez vous par le biais de la cinéphilie, car je cherchais quelques films ou documentaires par ailleurs introuvables et certains étaient disponibles chez vous. Bravo la communauté !
    Hasta pronto, compañeros !

    Herdé
     
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  2. ninaa
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    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

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  3. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
  4. pschrsrgnc
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    pschrsrgnc Guest

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    Espérons que l'histoire ' des Bitterois ne se résume pas qu'à ce Mr Ménard !
    Les mûriers,l'élevage des bombyx,la vigne,les berlingots de Pézenas sorte de 'bêtises', les savoirs- faire tourné vers la mer m'inspire plus que la création d'une milice,qu'un drakar du musée (la figure de proue étant un dragon>snekar>serpent...)récupéré,que des relents 'd'affects' colonialistes...c'est sûrement autre chose !
    Slt,bienvenue.
     
  5. kuhing
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    kuhing Membre du forum Compte fermé Membre actif

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    Juin 2017
    Bienvenue.
    :thumbsup2:

    ( perso, je trouve que les plus beaux combats sont ceux qu’on gagne )
     
  6. ninaa
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    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

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    Fev 2014
    France
  7. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    [​IMG]

    Le premier topic sur Ménard datait un peu, le lien avec le blog antifasciste34 renvoyait à un site apparemment inactif depuis un moment...
    En revanche celui-ci est toujours d'actualité:

    Collectif Antifasciste 34



     
  8. kuhing
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    kuhing Membre du forum Compte fermé Membre actif

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    Juin 2017
    Citation pour citation il y a aussi celle de Nietzsche qu’on devrait méditer plus souvent :
    « Qui vit de combattre un ennemi a tout intérêt de le laisser en vie. »
     
  9. herdé
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    herdé Membre du forum

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    Jan 2018
    Homme
    Algeria
    Je connais bien le "problème" Ménard et fait un texte en janvier 2015 (ci-après), distribué dans les boîtes-aux-lettres de Béziers et publié dans le journal Basta (des copains de Toulouse). J'ai un peu connu Ménard dans les années 70, car à cette époque là il se prétendait anarchiste (mais si, ne rigolez pas) et fréquentait notre petit groupe biterrois. Bon c'est vrai qu'il était très jeune, on peut donc l'excuser. Ou se servir comme référence pour montrer que l'anarchie peut mener à tout (allez, je plaisante, hein !)

    La bête immonde

    La poussée de l’extrême droite et l’extrême droitisation du débat politique est un phénomène qui s’affirme dans toute l’Europe. À la faveur de la prétendue crise économique (qui voit surtout bénéfices et dividendes augmenter) les extrêmes droites réalisent une percée électorale de manière synchrone. Les élections en Grèce ont porté au Parlement le groupe néonazi Chryssi Avghi (Aube dorée). En Autriche, Suisse, Norvège, Finlande, Hongrie, Pays-Bas, France... c'est entre 15 et 25% des votants qui ont accordé leur suffrage, lors de différentes élections, à des partis d'extrême droite. Ces chiffres permettent de mesurer l’étendue de la gangrène.
    On lit ici et là que la situation n’est pas grave car elle n’aurait rien à voir avec celle qui, dans les années 1930, a porté Hitler au pouvoir. Les conditions historiques produisant des fascismes de circonstance, les parallèles sont, il est vrai, toujours quelque peu hasardeux. Mais force est de constater que la fascisation des esprits gagne chaque jour du terrain en Europe et qu'une fraction importante des classes populaires est atteinte par le virus fasciste propagé par ces organisations d'extrême droite.
    En France, le FN, maintenant qu'il a réussi à s'acheter une ''respectabilité'' de façade en installant dans le débat politico-médiatique les propositions phares de son programme, à commencer par le rejet des immigrés, l’islamophobie, la préférence nationale, menace d'attaquer en justice quiconque ose le traiter de parti fasciste. Mais ce n'est pas la fine couche de vernis ''démocratique'' étalée par Marine Le Pen sur les pustules du Front National que lui a légué son papa qui peut cacher la nature profondément fasciste de ce parti. Malheureusement l'infect brouet démocratique que le FN tente, depuis quelques années, de faire avaler aux électeurs semble faire de l'effet sur ceux-ci. Si l'on se fie aux sondages de popularité et d'intention de vote, qui lui sont de plus en plus favorables, ce parti fasciste serait aux portes du pouvoir.

    Qui de Robert Ménard ou le FN est le plus fasciste ?

    En mars 2014 le FN a conquis le pouvoir dans 12 mairies dont Béziers, la plus emblématique de par son importance (plus de 70 000 habitants) et la personnalité de l'individu qui a été élu Maire, Robert Ménard. Car bien que Ménard s'en défende il a bien été élu avec le programme et le soutien officiel du FN. Soutien qui aujourd'hui embarrasse surtout le... FN ! Ménard ayant dévoilé rapidement le caractère profondément fasciste de sa personnalité, il fait ainsi craquer les apparences démocratiques dont le FN se pare aujourd'hui, ce qui n'est pas du tout du goût des dirigeants frontistes. Louis Aliot, conseiller régional de Languedoc-Roussillon et vice-président du FN (et accessoirement compagnon de Marine Le Pen) peut ainsi déclarer sur France Culture : « Il (Ménard) est dans une certaine contradiction en disant ''je ne suis pas Front National'' comme s'il avait en face de lui un épouvantail, tout en prenant à son cabinet des gens qui sont beaucoup plus, beaucoup plus radicaux que ne le sera jamais le Front National. » Et le plus rageant, c'est qu'on ne peut pas donner tort à Aliot. Dès son élection, Ménard nomme comme directeur de cabinet André-Yves Beck et Christophe Pacotte en tant que chef de cabinet. André-Yves Beck, a été membre de Troisième voie, un groupuscule d'extrême droite parmi les plus actifs, fondé par Serge Ayoub, et dissous suite à l'assassinat du jeune antifasciste Clément Méric. Le nouveau directeur de cabinet de Robert Ménard est aussi le fondateur de Nouvelle Résistance, un groupe se réclamant du "fascisme dans sa version anticapitaliste". Quant à Christophe Pacotte, il avait intégré en 2012 le bureau directeur du Bloc identitaire. Des nominations qui permettent d'entrevoir ce que pourrait devenir la ville de Jean Moulin sous la coupe de son nouveau maire.
    L’élection de Ménard aura donc eu au moins le mérite d'obliger certains médias à dévoiler (un peu) la face cachée de ce répugnant personnage qui jusqu'à il y peu faisait encore partie du sérail médiacratique, et à ce titre jouissait de leurs faveurs. Pendant plus d'un quart de siècle, Ménard a été la créature des médias, le porte-voix du discours d’une classe politico-médiatique de droite et d’extrême-droite, d'abord avec Reporters Sans Frontières et ensuite en tant que journaliste-chroniqueur à la télé et la radio : émissions quotidiennes sur I-Télé (filiale de Canal+), RTL, puis Sud Radio...
    Lorsqu'il crée en 1985 RSF(1) Ménard est représentatif de ces soixante-huitards qui ont trahi la conscience politique libertaire de l'époque par goût du pouvoir : anarchiste au début des années 1970, il rejoint les trotskistes de la LCR en 1973 puis s'encarte au PS jusqu'en 1981(2). Ce parcours politique lui permettra, pendant de longues années, de masquer sa véritable personnalité et de profiter du soutien de la gauche bien-pensante du milieu médiatico-politique. Même quelqu'un comme Raoul Vaneigem, qui, a priori, ne peut pas être suspecté de naïveté politique ou d’accointances avec l'extrême droite ou même la droite, s'est laissé abuser : en 2008 Ménard préface le bouquin de Vaneigem Rien n'est sacré, tout peut se dire : Réflexions sur la liberté d'expression (Éditions La Découverte). Pourtant quelques voix critiques ont essayé, depuis plus de dix ans, de dénoncer la personnalité de Ménard (Brauman, Guillebaud, Ignacio Ramonet...) ou le fonctionnement de RSF, mais sans rencontrer, bien sûr, d'écho dans les grands médias : on n'attaque pas, en France, l’icône médiatique, le preux chevalier Ménard, défenseur incontesté de la liberté d'expression, prix Sakharov(3) en 2005 et fait chevalier de la Légion d'honneur le 23 mars 2008 sur proposition de Bernard Kouchner. A quand le prix Nobel de la Paix ?
    Dès 2005 un journaliste canadien, Jean-Guy Allard, publie un livre très documenté, Le Dossier Robert Ménard, où il révèle les liens de RSF avec la CIA. Allard met en évidence l’alliance entre RSF et le Département d’État US à travers des contrats conclus avec la National Endowment for Democracy (NED) et l'International Republican Institute (IRI), deux officines écrans de la CIA, créées sous l’administration de Ronald Reagan pour détourner des fonds publics vers des organisations étrangères. Ménard avait aussi associé RSF à cette mafia des hiérarques de la Presse continentale appelée Société Intercontinentale de Presse (SIP), une vieille créature de la CIA dont le siège est à Miami et porte le nom de son « refondateur », l’agent Jules Dubois, illustre membre du renseignement nord-américain.
    En 2007, l'écrivain et essayiste français Maxime Vivas reprend et développe ces accusations dans son livre La face cachée de Reporters sans frontières. Dans cet ouvrage l'auteur dénonce RSF en raison de son financement par des fonds accordés par « divers ministères français » et par de « grosses sociétés françaises » et des « subventions en provenance des États-Unis », sa propagation de « fausses nouvelles » utiles à ce dernier pays et son mutisme sur la concentration de la presse dans les mains des puissances financières. Il lui reproche aussi de s'en prendre de manière « sélective » aux gouvernements de Fidel Castro à Cuba et d'Hugo Chávez au Venezuela. Ménard commente l'ouvrage en dénonçant en Maxime Vivas un « zélateur du régime castriste » qui, afin de discréditer l'association RSF, aurait inventé des liens entre Reporters sans frontières, la CIA et indirectement avec Ben Laden. Maxime Vivas, qui se présente comme un « zélateur des peuples à disposer d'eux-mêmes », répond, pour sa part, que les liens de RSF avec la CIA sont avérés, démontrés et « chiffrés en dollars ». S'agissant des liens de RSF avec Ben Laden, l'auteur dit avoir parodié dans son livre une méthode utilisée par RSF et qui conduirait selon lui à une telle affirmation ridicule par « effet de halo ».
    En 2008, après 23 ans de règne absolu, Ménard, l’apparemment inamovible fondateur de Reporters Sans Frontières, annonça à la surprise générale qu’il abandonnait sa charge de secrétaire général de l’organisation controversée. 23 ans passés a occuper les médias, exposant ses idées, dénonçant des chefs d’État, ses contradicteurs et, d’une manière générale, dénonçant tous les courants de pensée qui ne sont pas atlantistes et pro-américains. 23 années d'éructations sans que jamais soit organisé un débat avec d’autres qui pensent différemment ou qui déplorent la dérive de RSF. C’est pourquoi ce porteur d’idées d’extrême droite a pu apparaître au grand public comme un chevalier blanc.
    Après sa démission de RSF, Ménard jette définitivement son masque, commet deux livres (« Vive Le Pen ! » et « Vive l’Algérie française ! ) où il étale sa nauséabonde pensée, ce qui n'a pas l'air de gêner le moins du monde les grands médias qui l'accueillent régulièrement. En 2013 il décide de revenir à Béziers, où il a passé son adolescence et où vit toujours sa famille, pour briguer le poste de Maire, avec le soutient, donc, du Front National. Dès qu'il est élu, Ménard donne libre cours à ses penchants fascistes : interdiction de cracher dans l’espace public (en cela il reprend un décret de Pétain de 1942) ; interdiction d’étendre du linge aux balcons visibles depuis la voie publique ; interdiction des paraboles sur les façades ; couvre-feu de 23 heures à 6 heures pour les mineurs de moins de 13 ans dans l’hyper centre et le quartier de La Devèze (ex-ZUP) ; convocation à la mairie des auteurs de petits délits, menacés, s’ils ne venaient pas, de voir leurs aides sociales suspendues ; suppression des aires de jeux dans le quartier HLM de La Devèze, attribution de blouses aux élèves de maternelle et primaire... Ménard soumet ainsi, à coups de ''petits interdits'' la population biterroise, et impose chaque jour un peu plus son fascisme ''ordinaire'', dont la mise en place du catholicisme comme religion officielle de Béziers n'est pas le moindre avatar. En août 2014, pour la première fois en 45 ans d'existence, la Feria de Béziers a été placée sous le signe d’une grand messe dans les Arènes (5 000 personnes) suivie d’un cortège jusqu’au Théâtre municipal où sur son balcon, très mussolinien, Ménard prononce un discours musclé. Et en décembre c'est l'installation d’une crèche de Noël dans le hall de la Mairie...
    Ménard est aussi nostalgique de l'Algérie française, comme il l'a écrit, mais surtout de l'OAS, l’Organisation de l’Armée secrète, une ligue clandestine fasciste et putschiste qui, pendant la guerre d'Algérie, tortura et massacra des civils, qui se livra à des attentats aveugles en France et en Algérie. Certains historiens (ainsi que De Gaulle dans ses Mémoires d’Espoir) évaluent à plus de 12 000 le nombre de personnes assassinées par l’OAS. Certains contestent ce nombre et l’évaluent à 2 000 environ, ce qui plus que suffisant pour s’indigner. Le 5 juillet 2014 Ménard est donc allé s’incliner devant une stèle qui porte un hommage photographique à quatre terroristes de l’OAS condamnés par la justice et fusillés et y prononce un discours faisant l’éloge de « la résistance OAS ». Ah oui, au fait, son père était membre de l’OAS. Et dans la foulée il décide de changer le nom de la "rue du 19 mars 1962", date des accords d'Evian mettant fin à la guerre d'Algérie, pour la baptiser ''rue commandant Hélie de Noix de Saint Marc'', général putschiste en 1961.
    Ménard profite aussi de son pouvoir pour inviter à Béziers ses copains fascistes : les deux premiers ont été Éric Zemmour d'abord et Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon dit de Villiers ensuite, venus faire la promotion de leurs livres. Pour cela, la totalité des panneaux de la ville ont été utilisés et la salle du Palais des congrès mise gratuitement à leur disposition. Tout cela aux frais du contribuable. D'autres fascistes viennent s'installer à Béziers, comme Robert Ottaviani, ex-cadre FN et ancien membre d’un groupe rock identitaire néo-nazi, qui doit diriger une ''Mutuelle biterroise dite municipale pour les pauvres''...
    Ici à Béziers le programme de Ménard a libéré les propos racistes, le rejet des immigrés et des sans papiers, l'exclusion des SDF des rues et places... Contrôles d'identité abusifs, gentrification du centre ville, imposition de la ''propreté''... Caméras partout, police omniprésente (d'ici l'année prochaine l'effectif va être doublé, cf. article Midi Libre 17/11/2014), contrôles accrus, pression, oppression c'est ce que l'on vit ici à Béziers.

    Et les partis de gauche, les associations bien pensantes de gauche voudraient que « tous ensemble », on s’allie contre l’extrême droite... Nous ne nous indignons pas de la montée de l’extrême droite, nous voulons la combattre comme nous l'avons toujours fait et surtout combattre le capitalisme qui génère cette droite extrême fasciste. Face aux soulèvements et insoumissions, la démocratie libérale montre qu’elle ne tient pas seulement par la domestication minutieuse des individus et des espaces de vie, ou par les dominations économiques et sociales, mais aussi par un usage déterminé de la terreur. Avec rage et joie proclamons que nous sommes vivants en combattant toutes les oppressions !

    R.D. Janvier 2015
    1. Avec, entre autres, Rony Brauman et Jean-Claude Guillebaud qui quitteront rapidement l'association en dénonçant le « climat pourri » et la « dictature domestique » que Ménard fait régner sur RSF. Brauman, en 1995, décrit Ménard comme un « dictateur villageois », « une brute qui parle des droits de l’homme » et lui reprochera même de « doubler Le Pen par sa droite » (à propos des positions de Robert Ménard sur la peine de mort).
    2. Il sera délégué du CERES (aile gauche du PS) pour la fédération de l'Hérault au congrès de Metz en 1979 et bénéficiera du soutien de François Mitterrand et de Jean-Michel Du Plaa, conseiller général PS de l'Hérault, pour la création de RSF.
    3. Le prix Sakharov pour la liberté d'expression (aussi appelé « prix Sakharov pour la liberté de pensée » et « prix Sakharov pour la liberté de l'esprit »), nommé en l'honneur du scientifique et dissident soviétique Andrei Sakharov, fut créé en 1988 par le Parlement européen pour « honorer les personnes ou les organisations qui ont consacré leur existence à la défense des droits de l'homme et des libertés. »
     
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  10. ninaa
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    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

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  11. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Très bon article! Bravo!
    Et vous en êtes où avec Ménard? Et avec les fachos du coin? Y a quand même une bonne résistance antifasciste? Parce que même sur le blog antifasciste34 l'essentiel des activités semble plutôt concentrée sur Montpellier?
     
  12. herdé
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    herdé Membre du forum

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    Jan 2018
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    Malheureusement, la résistance antifasciste et anti-Ménard en particulier piétine quelque peu à Béziers après une petite flambée dans l'année qui a suivi son élection. Car la réalité biterroise est celle d'une ville sinistrée économiquement et culturellement, et habitée en majorité par des retraités (comme moi, pour l'âge je veux dire, pas pour les idées, hein !). Donc les jeunes partent ailleurs pour chercher du travail ou continuer les études, notamment à Montpellier ou Toulouse, où il se passe effectivement beaucoup plus de choses.
    Herdé
     
  13. ninaa
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    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

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    Fev 2014
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  14. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    C'est déjà beaucoup que vous n'ayez pas renoncé dans vos têtes... En attendant un renouveau de lutte anarchiste et antifasciste à Béziers. Il suffit souvent de pas grand chose, quelques révoltés de plus (quel que soit leur âge) bien lucides et déter et ça peut vite faire boule de neige! :blackflag::anarchy:3:)

    [​IMG]
     
  15. IOH
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    IOH Membre du forum

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  16. herdé
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    herdé Membre du forum

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    Jan 2018
    Homme
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    Je ne connais pas, ça a l'air sympa et vais me les procurer, merci. Dans le genre BD ou roman graphique, comme on appelle ça aujourd'hui, je te conseille, au cas où tu ne connaîtrais pas, L'ART DE VOLER qui raconte la guerre d'Espagne d'un combattant de la CNT et son exil en France.
    http://gimenologues.org/IMG/pdf_ARTDEVOLERred.pdf

    Herdé