Chargement...

RSA, causes et conséquences

Discussion dans 'Politique et débats de société' créé par Isli25, 2 Septembre 2017.

  1. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  2. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Pour les Toulousains:
    Jeudi prochain, rentrons dans le vif du sujet !

     
  3. pschrsrgnc
    Online

    pschrsrgnc Guest

    0
    Le versement du RSA incombe aux départements. Les causes édictées en 1986 étaient de favoriser un retour vers l'emploi des précaires favorisé par une allocation d'insertion>r.m.i suivi par le r.s.a qui se voulait un complément de salaire pour les actif.ve.ss
    Aujourd'hui, les précurseurs d'un département tentent dans une région, la plus petite,d'instaurer le RSA vs bénévolat,arguant que les liens sociaux amèneront l'emploi,qu'il est grandiloquent d'avoir une activité non rétribuée." Dis positif"& insertion vanté par l'entête : être actif,c'est positif via un C.E.R(contrat d'engagement réciproque) Substituée au président cause cumul de mandats, la nouvelle présidente B.Klinkert vante et signe ses missives concluant : vous assurant de ma pleine mobilisation, je vous souhaite une complète réussite dans la réalisation de vos projets.
    La réciprocité ??laissant songer que 7h/semaines gratis développeront ton réseau de connaissance et d'ajouter "le dispositif rSa*(sigle ainsi représenté !) donne à chacun autant de chances supplémentaires pour s'épanouir, rebondir et faciliter le retour à l'emploi".
    Une ironie philanthropique de l'ancienne cadre des 'dominicains de haute-alsace' se retranchant derrière la législation départementale et hors les lois au niveau national concernant les travaux non-salariés au seing d'associations !
    Quelles garanties satisfaisantes concernant l'emploi et le salaire dû en compensation ces prérogatives amènent elles?:Nada.
    Une fois de plus, ces personnes aisées demandent aux moins nantis de participer aux efforts. Manque presque ;" mais donner leur de la brioche...!",celle dont on ne se sustentera point!
    Je vois poindre par ex;que les 'bénéficiaires' de ces CER priveront d'activités certains emplois salariés même si,le contraire est avancé par cette transfiguration à l'échelle de cette départementalisation occultant l'ensemble.
    Être actif.ve,c'est positif nous le savons tous çà. Mais s'investir comme employé. e nécessite une compensation pécuniaire décente et non un reliquat émanant d'acquisition sociale !
    Donnant/donnant : Donnes de vraies certitudes,de la concrétisation, de la sécurité... autre qu'une occupation qui comblerait l'inactivité supposée ,ce serait déjà positif.:X?
     
  4. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  5. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Juste une petite précision: tous les rsastes ne se définissent pas comme "chômeurs" (plutôt comme feignants tout simplement...). Un chômeur c'est quelqu'un qui cherche un travail.

    [​IMG]

    Chansons anti travail

    Et pendant ce temps là...

     
  6. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  7. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Voilà une décision qu'elle est courageuse!
    Il y va le mec, sans savoir si l'Etat va céder à ce bras de fer qui lui coûte si peu à lui. Si des dizaines de milliers de pauvres ne vont pas se retrouver sans les trois sous qui leur permettent quand même de survivre.
    Mon petit doigt me dit que le même président PS de la Seine St Denis entérine sans problème d'autres dépenses plus "utiles"? Surtout quand elles ne concernent pas les plus précaires?
    Dans les médias qui ont relayé l'info jusqu'à présent (RTL, Figaro, LCI...) pas un mot sur les conséquences dramatiques de cette super action militante.

    La Seine-Saint-Denis refuse de verser le RSA de décembre et en appelle à l'Etat
     
  8. pschrsrgnc
    Online

    pschrsrgnc Guest

    0
    La Seine st Denis entre autre devient un 'labo 'd'expérimentations sociales et éducatives.
    Les Z.E.P,la police ' de proximité'',les aides sociales 'discutées',remises en cause, affiliées directement aux logements et revenus.
    L'emploi,l'éducation sont sélectifs, à mon sens,estompant la détermination par cloisonnements, atténuant ainsi la volonté,l'espoir en désignant une partie d'un ensemble comme 'expérimental' et cela persiste ! Des 'gourbis' à aujourd'hui,l'empreinte du mal être sociétal transite, véhicule ses clichés,offre ses stigmates espérant qu'un amalgame confus supplémentaire ne changera pas ce qu'il, elle.s souhaitent : un peu de...mieux !De l'espérance, viable...et non une désignation formelle de 'la crise sociale et économique' en un endroit.
    Mon petit doigt me dit:que le modèle déteint,déteindra encore... Combler les espaces créés,rassembler, solidariser, dynamiser en fustigeant parallèlement certaines classes,principes,alternatives qui 'soutiennent' favorablement,assistent sont dénigrées, handicapées par des 'constats financiers' établis qui gangrènent l'aide apportée.
    Sommation d'automne...?L'hiver est à nos portes !​
     
  9. pschrsrgnc
    Online

    pschrsrgnc Guest

    0
    (*'un oubli'!)
     
  10. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  11. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Récit de l'occupation de la direction générale du développement du conseil départemental du Gard
     
  12. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  13. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    La moitié des chômeurs touchent moins de 500€/mois ou la réalité chiffrée de « deux ans de vacances »
     
  14. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  15. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    [​IMG]
     
  16. anarkia ou l'un de ses multicomptes
    Offline

    anarkia ou l'un de ses multicomptes Membre du forum Expulsé par vote Membre actif

    830
    116
    0
    Août 2018
    United States
    juste pour info : agitations autonomes c'est des potes du pir assez branchés communisation, maoisme et "anti déconstruction".
     
  17. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  18. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Merci pour l'info, je m'en doutais pas l'ayant chopé sur Paris Lutte info, pas toujours regardant sur les sources c'est vrai, ça m'apprendra à être plus vigilante...
    Si quelqu'un avait de meilleures sources à propos des nouvelles lois anti-chômeurs (chercheurs d'emploi ou non...)?
     
  19. Stéphane Bazoches
    Offline

    Stéphane Bazoches Membre du forum Membre actif

    442
    155
    8
    Juil 2017
    Homme
    France
    Y a ça dans Mediapart :
     

    Fichiers attachés:

  20. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  21. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    j'arrive pas à ouvrir, "désolé le document n'est pas disponible en format PDF"?
     
  22. Stéphane Bazoches
    Offline

    Stéphane Bazoches Membre du forum Membre actif

    442
    155
    8
    Juil 2017
    Homme
    France
    Ah zut. Je vais essayer autrement.
     
  23. Stéphane Bazoches
    Offline

    Stéphane Bazoches Membre du forum Membre actif

    442
    155
    8
    Juil 2017
    Homme
    France
    Voilà :

    Pour la nouvelle année, le gouvernement durcit encore le contrôle des chômeurs
    Mediapart, 2 janvier 2019 Par Mathilde Goanec

    Dans un décret paru le 30 décembre 2018, les conditions du contrôle des chômeurs s’alourdissent encore. Emmanuel Macron, dans ses vœux, a rappelé aussi qu’il entendait modifier « en profondeur » les règles d’indemnisation des demandeurs d’emploi.

    La réforme du contrôle des chômeurs avait déjà fait grincer des dents, lors de l’examen de la loi sur « l’avenir professionnel » adoptée l’été dernier. Mais à la lecture d’un décret paru dimanche 30 décembre au Journal officiel, les conditions seront encore plus drastiques qu’annoncé.
    Le fait de ne pas se rendre à un rendez-vous avec un conseiller sans motif légitime devait être sanctionné de 15 jours de radiation des listes de Pôle emploi, selon le texte voté par les députés. Finalement, ce sera un mois de radiation, deux mois au bout de deux manquements et quatre mois au « troisième manquement » constaté.
    Pour les sanctions concernant l’insuffisance de recherche d’emploi (refus à deux reprises de deux offres raisonnables d’emploi par exemple), la loi défendue par la ministre du travail Muriel Pénicaud prévoyait des sanctions graduelles : suspension de l’allocation d’un mois la première fois (ce qui revient à « décaler » ses droits), de deux mois la deuxième fois et quatre mois la troisième fois. Il était alors précisé que l’allocation serait amputée à partir de la deuxième fois seulement. D’après le décret, l’allocation est carrément « supprimée » dès le premier manquement.
    Moins commenté mais potentiellement explosif, le décret abroge aussi « la définition du salaire antérieurement perçu », qui était jusqu’ici pris en compte pour déterminer l'offre raisonnable d'emploi, bâtie par un conseiller Pôle emploi. En clair, si vous touchiez par exemple un salaire de 2 000 euros, vous étiez en droit de refuser des offres d’emploi trop inférieures à ce montant, pendant un an. Ce n’est plus le cas.
    Comment expliquer un tel écart entre le texte et sa mise en œuvre par décret ? Les législateurs avaient, semble-t-il, prévu un tel durcissement, loin de la surveillance de l’Assemblée : ainsi, dans la loi telle que rédigée à l’été 2018, il était écrit que « les éléments constitutifs de l'offre raisonnable d'emploi » pouvaient être révisés, afin « d’accroître les perspectives de retour à l'emploi ». Il était aussi prévu qu’un décret préciserait « les conditions dans lesquelles et la durée pendant laquelle » l’allocation chômage pouvait éventuellement être supprimée.
    Syndicats et partis à gauche, la France insoumise notamment, ont vivement réagi à ce nouveau tour de vis : « Un emploi non pourvu pour 40 chômeurs, 80% des embauches en contrats précaires mais plutôt que de s’attaquer au chômage, Macron le fainéant s’attaque aux chômeurs ! », a tweeté le député Adrien Quatennens. Denis Gravouil, à la CGT, a regretté que l'on prenne à nouveau « les chômeurs pour des fraudeurs », quand son homologue à Force ouvrière prédit leur « précarisation rampante ». Même tonalité au PCF :
    Aurore Bergé a donc du faire le service après-vente, mercredi 2 janvier. « C'est fait tout simplement dans une logique qui est une logique de justice », a plaidé la députée des Yvelines sur Cnews, défendant un « équilibre entre des droits supplémentaires », par exemple en matière de formation, et des « devoirs supplémentaires, recherche d'emploi notamment ».
    Le gouvernement et sa majorité parlementaire tiennent leur ligne, quitte à le faire en catimini : l’incitation au retour à l’emploi passe par un contrôle de plus en plus étroit des chômeurs. Même si la plupart des experts s’accordent à dire que le problème tient surtout au nombre largement insuffisant d’offres d’emploi (a fortiori d’emplois à peu près correctement rémunérés et stables), une partie du monde politique croit au coup de bâton supplémentaire, pour faire baisser les chiffres du chômage.
    Le sociologue Didier Demazière, que Mediapart avait interrogé lors de l’examen du projet de loi, rappelait que « la volonté de renforcer le contrôle des chômeurs est une des traductions de la tendance générale à privilégier “l’activation” des chômeurs, c’est-à-dire rendre leurs démarches plus actives, plus intensives ». Une politique qui vise « à fluidifier le marché du travail et à y faciliter les mouvements – les recrutements comme les licenciements », que l’on peut lire aussi dans la modification dès le début du quinquennat du code du travail, et la simplification assumée des conditions de licenciement.
    Pousser à la sortie peut avoir deux effets, rappelait le sociologue : d’une part les demandeurs d’emploi, sous pression, acceptent plus volontiers des emplois de très faible qualité – des contrats de très courte durée, avec des temps de travail très limités et des salaires très faibles. « Ici, le contrôle incite à accepter plus facilement des formes dégradées d’emploi, ce qui a des effets structurants sur le marché du travail. »
    D’autre part, les sorties du chômage déclenchées par un contrôle accru peuvent inciter à « jeter l’éponge » et donc à sortir des listes de Pôle emploi, surtout quand les chômeurs ne sont plus indemnisés, ce qui est le cas pour la moitié d’entre eux. « Cela fait baisser le taux de chômage apparent, mais pas le taux de chômage réel », concluait Didier Demazière.
    La réforme de l’assurance-chômage n'a pas fini d'alimenter les débats. Emmanuel Macron l’a confirmé lors de ses vœux de la Saint-Sylvestre. Le gouvernement souhaite « changer en profondeur les règles de l’indemnisation du chômage afin d’inciter davantage à reprendre le travail », dès 2019. Les syndicats et le patronat sont actuellement engagés dans une série de réunions pour répondre à la commande présidentielle, détaillée dans cet article.

    Lire aussi
    • Chômage, formation: la nouvelle loi chamboule tout Par Dan Israel
    • «Il n’y a pas de raison économique d’intensifier le contrôle des chômeurs» Par Dan Israel
    • A Nancy, les agents de Pôle emploi brisent le cliché du chômeur-fraudeur Par Mathilde Goanec
    Le 25 septembre 2018, ils ont reçu une lettre de cadrage très précise. L’exécutif leur demande de tailler dans les dépenses de l’Unedic (qui gère le versement des allocations chômage) et d’économiser entre 1 et 1,3 milliard d’euros par an de 2019 à 2021. Des sommes à comparer aux 39,7 milliards d’euros versés aux chômeurs en 2017.

    À revoir, les règles qui permettent de bénéficier de droits rechargeables à l’assurance-chômage. Depuis 2014, il est prévu que si un chômeur travaille pendant qu’il touche son allocation chômage, il allonge la période pendant laquelle il peut toucher de l’argent de Pôle emploi. Un mécanisme qui peut durer indéfiniment, pour peu qu’il travaille au moins 150 heures pendant sa période d’indemnisation.
    À revoir aussi, la définition du calcul du salaire journalier de référence. Ce calcul sert à établir le montant de l'allocation versée à un chômeur. Selon le gouvernement, il est source d'inégalités : un même nombre d’heures de travail et un même salaire horaire peuvent donner droit à des allocations plus importantes si ce travail a été effectué dans le cadre de plusieurs contrats fractionnés de quelques jours, au lieu d’un contrat courant sur plus d’une semaine.
    Le gouvernement prévoit également de remettre en cause la règle de l'activité conservée, qui permet à certains inscrits d’être bien indemnisés s’ils perdent un employeur, mais en conservent deux ou trois autres. Autant de mesures qui pourraient fragiliser en premier lieux les travailleurs les plus précaires, cumulant des petits emplois de faible durée. Mais pourront-ils encore les refuser ?
     
  24. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  25. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Merci...
    Au delà des infos toujours intéressantes à connaître dans le détail (sur l'opposition à cette loi on peut se retrouver d'accord avec un tas de gens) est-ce qu'il y aurait des critiques de fond plus spécifiquement libertaires, dans le genre des défunts CAFards?
    Les CAFards de Montreuil
     
  26. [Refusé]
    Offline

    [Refusé] Membre du forum Expulsé par vote Membre actif

    488
    26
    0
    Sept 2018
    France
    Concernant les CAF actuellement, le 'p'tit problème est que l'État délègue sans façons et qu'elles risquent bien
    d'obtenir des droits jusque-là attribué aux JAF (Juges des affaires familiales )
    Elles pourraient à l'avenir être décisionnaires concernant les
    calculs,attributions des pensions alimentaires entre autres.
     
  27. [Refusé]
    Offline

    [Refusé] Membre du forum Expulsé par vote Membre actif

    488
    26
    0
    Sept 2018
    France
    RSA = une déclaration trimestrielle à retourner où à effectuer sur la CAF mon compte.
    Si tu n'as pas de code confidentiel alors la CAF en envoie un provisoire.Mon bléme c'est que le code envoyé par un.e des officiant. e que la caisse m'a envoyé est un code bidon....
    Ensuite,l'AS à été incapable de m'orienter vers le centre de traitements de Roubaix,car la pauvre est retranchée derrière les formats informatiques imposés .
    Ce n'est pas très grave je rebondirait mais ce 'complot
    direct' émanant de quelques sbires des services publics ne serviront pas à habiller la politique locale de Mr,Strawman et sa collègue Mme Klinkert !!(il y a env 20 OOO bénéficiaires à gérer pour le département...et moins de personnel,des bornes standardisées peu efficaces les remplaçant.
    Les relations humaines occultées par les besoins de nouvelles gestions ne remplaceront jamais le conseil,l'accueil et l'écoute....

    ---- Question: C'est ça le financement direct?Non ?[MDR quand même] -------------------------
     
  28. ninaa
    Offline

    ninaa Membre du forum Expulsé du forum

    11 199
    1 856
    499
    Fev 2014
    France
  29. anarchiste, anarcho-féministe, individualiste
    Les relations humaines avec le personnel de la CAF (des administrations en général) c'était pas toujours un cadeau (euphémisme!)
    C'est pour contrer leurs abus et lacunes en tous genres - contre les lois aussi, évidemment, mais avec des alliés comme les "assistants sociaux" les précaires n'avaient souvent plus besoin d'ennemis... qu'on été créés les CAFards:

    Les CAFards de Montreuil

    En principe on peut toujours prendre rendez-vous avec des "conseillers" dans les CAF, ASSEDIC, Pôle emploi, etc.
    Le problème pour les collectifs de chômeurs et précaires c'est que quand les gens devaient pointer et faire la queue pour avoir des renseignements, s'inscrire ou pointer, on pouvait les toucher en masse (diffs de tracts, occupation du lieu, discussions...). Maintenant c'est impossible.
    Il y a des années de ça les collectifs genre AC ou CAFards pouvaient rameuter d'autres précaires et chômeurs avec ces actions. Puis est venue la répression, quand on se pointait dans une CAF ils fermaient tous les guichets et flanquaient tout le monde dehors. Du coup les gens nous en voulaient de s'être déplacés pour rien...
    Mais la nouvelle méthode (démarches internet, RV au compte gouttes) est également efficace pour empêcher les rencontres, donc les possibles associations entre précaires...
     
  30. [Refusé]
    Offline

    [Refusé] Membre du forum Expulsé par vote Membre actif

    488
    26
    0
    Sept 2018
    France
    Ça s'appelle un coup de pute.Point.
     
Chargement...
Discussions similaires
  1. Réponses:
    0
  2. Réponses:
    2
  3. Réponses:
    0
  4. Réponses:
    0
  5. Réponses:
    0
  6. Réponses:
    0
  7. Réponses:
    2

Les membres qui ont lu cette discussion dans le dernier mois (Total: 4)

  1. ninaa
  2. depassage
  3. HarryKill
  4. Diego_CA