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Ma "définition" de l'Anarchisme

Discussion dans 'Activisme, théories et révolution sociale' créé par 9darknight3, 6 Janvier 2018.

  1. Critobule
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    Si tu me dis que la richesse, c'est l'homme, alors, tu devrais constater que la capitalisme marche à merveille, puisqu'il y a plus d'homme que jamais sur Terre ! Blague à part, j'appelle richesse ce à quoi les gens accordent de la valeur, qu'ils aient raison d'y accorder de la valeur ou non. L'homme n'est pas qu'un outil de travail, il est avant tout un agent, qui se donne des valeurs, et qui poursuit certaines fins, certains buts, en mobilisant différents moyens, plus ou moins efficace selon son discernement.
    En recherchant leurs fins respectives, les gens sont amener à s'entraider, à coopérer, à échanger. La petite subtilité que tu as peut-être du mal à comprendre, est que ce n'est pas un jeu à somme nul. C'est à dire que ce qui est gagné par quelqu'un n'est pas nécessairement perdu par quelqu'un d'autre. Il y a création de richesse dans le processus. Mais je ne vais pas te faire de cours d'économie, je te laisse te renseigner et réfléchir par toi même, je ne doute pas un instant que tes capacités intellectuelles te le permettent.

    Quelle insulte bien placée. J'en déduis que tu es quelqu'un de très intelligent et que tu connais sans doute la Vérité.
     
  2. Non, pitié !!!
    Reste plutôt dans ton domaine estudiantin !
     
  3. Critobule
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    Critobule Membre du forum

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    Bien sûr, ce serait mieux ! Mais il se trouve que la quantité de richesse créée n'est pas indépendante du mode de production et de répartition. En l'occurrence, le capitalisme créé des richesses et des inégalités. Mais si on y réfléchit, c'est en fait le cas de la liberté elle même. Si les gens sont libres, ils se donneront des buts différents, et choisirons des moyens différents pour y parvenir. Certains choisiront de chercher à s'enrichir le plus possible, d'autres se contenteront de ce qu'ils ont, certains prendront des risques, d'autres choisiront la prudence. A partir de là, il est difficile de concevoir qu'à la fin de la course, tout le monde arrive au même point, tu ne crois pas ?
     
  4. Le libéralisme pour les nuls...

    "Je m'enrichis, donc je nuis", V'là d'la vraie philosophie !
     
    Anarchie 13 apprécie ceci.
  5. Critobule
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    Critobule Membre du forum

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    Jan 2018
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    Et bien non justement, créer des inégalités en s'enrichissant soit même, ce n'est pas nuire aux autres ! Au contraire, il est tout à fait possible que j'enrichisse les autres, que je leurs rende service donc, tout en m'enrichissant moi même d'autant plus par rapport à eux !
    Imagine par exemple que tu sois un grand peintre. Dans un premier temps, tu es exactement aussi riche que tes voisins. Et puis, voilà un jour que tu peins une toile magnifique. Tout le monde y accordant te la valeur, on peut dire que tu as créé une richesse, et donc que tu t'es enrichit. Tu as donc désormais une richesse de plus que les autres, et de la situation égalitaire de départ, tu as généré une situation inégalitaire. As tu nuis à qui que ce soit pour autant ? Loin de là ! Bien au contraire, les autres profiterons eux même de ton oeuvre à chaque fois qu'il la verront ! Tu les auras donc, d'une certaine façon, enrichit eux aussi, tout t'en t'enrichissant toi même plus qu'eux !
    (j'anticipe les objections sur le partage de l'oeuvre : on suppose que la peinture doit être dans une maison pour ne pas s'abîmer, qu'elle ne peut pas être dans toutes les maisons à la fois, et que les peintres seront sans doute moins tenté de peindre si jamais on les privait du droit de garder leur peinture lorsqu'ils le souhaitent)
     
  6. Bon, t'es un véritable troll !
    Ou alors t'as pas capté où tu es ! Va plutôt sur le forum des LR !

    Ta diatribe et ton tableau, tu te doutes ce que j'en fait !
    En toute amitié, of course !
     
  7. Anarchie 13
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    Anarchie 13   Comité auto-gestion Membre actif

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  8. libertaire, anarchiste, marxiste, individualiste, révolutionnaire, anti-fasciste
    Je ne crois pas avoir parlé de travail mais de salariat.
    De plus on a les moyens techniques de satisfaire les besoins de tous les habitants de la planète actuellement. Le fait qu'il soit exigé à certains de se tuer au travail pour une proportion minime de la richesse (qu'ils créent dans la totalité, j'insiste bien sur ce point le capital ne crée AUCUNE richesse) ça n'a rien d'une fatalité. C'est un état de fait qui est entretenu sciemment par la bourgeoisie.

    Non, c'est pas "les gens" qui en veulent toujours plus, c'est la bourgeoisie. C'est pas parce que les ouvriers ou les paysans pauvres des pays en développements veulent de la nourriture de qualité qu'on surproduit. C'est parce que la bourgeoisie veut plus de chiffres sur ses comptes en banque.

    Pas d'accord. Ce n'est pas l'immoralité de l'humain qui amène le capitalisme, c'est un processus historique bien particulier.

    Euh... Quels pays ?

    Sauf qu'on n'est pas dans ce dilemme là. La production de pommes dépend de notre avancée technologique, pas du salariat. Aujourd'hui le dilemme c'est : on a de quoi produire 3,5 pommes par personnes sauf que le capital en prend 6 et en laisse 1 au prolétariat.

    Je trouve ça affligeant de confondre exiger la justice avec être jaloux.

    Je n'ai pas dit que ça n'avait rien à voir, j'ai dit que la valeur sociale d'une personne n'est pas mesurée uniquement à ce qu'il possède. Contrairement à ce que prétend la gauche intellectuelle la société capitaliste mesure aussi la valeur d'une personne à sa culture. Sauf que tout le monde n'a pas un égal accès aux valeurs et pratiques culturelles qui sont valorisées (pour des raisons matérielles à la base mais aussi depuis que la bourgeoisie s'est imposée comme classe dominante - grâce à sa suprématie matérielle - pour des raisons plus subtiles comme les réseaux de connaissances, l'éducation...).

    Je suis d'accord sauf que je ne sanctifie pas la "volonté". La volonté est pour moi construite et déterminée, ce n'est pas un arbitrage rationnel de notre esprit. D'autre part la société est unie et interdépendante, on ne peut pas la changer pour les uns sans la changer pour les autres. Si certains souffrent de ce qu'est la société alors elle doit changer pour tout le monde même ceux qui y trouvent leur compte afin d'arriver à une société qui permette à tout le monde de trouver son compte.
    Si les bourgeois ne veulent pas que la société change je n'accorde pas à cette volonté la même valeur qu'à celle de prolétaires. Les premiers ne peuvent pas vouloir qu'elle change puisqu'ils en profitent aux dépens des autres. C'est une raison illégitime, je les emmerde.
    Je crois que le principal désaccord vient de ce que tu n'as pas l'air de te soucier de la lutte de classes. Ou de la dialectique entre les classes pour utiliser un mot savant. La bourgeoisie n'existe pas sans le prolétariat. Elle a besoin du prolétariat pour exister et pour s'enrichir sur son dos. Donc naturellement elle lutte aussi sur le plan culturel pour laisser entendre que rien ne peut remplacer le capitalisme. Perso je regarde pas juste le fait qu'elle veut ça et qu'elle arrive à convaincre certains prolos et petits-bourgeois en galère. Je regarde pourquoi elle dit ça. Et pas seulement ses arguments - parce que ça reste du blabla, de la justification et ce sont pas les vraies raisons même si ça en dit beaucoup sur ceux qui les utilisent - je regarde aussi ce qu'elle fait et en quoi c'est dans ses intérêts.
    Et en conclusion l'option que je préfère c'est celle qui sera sans doute frustrante dans un premier temps pour ces bourgeois et leurs relais mais juste.
     
  9. + 1
    :)
     
  10. Anarchie 13
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    Anarchie 13   Comité auto-gestion Membre actif

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  11. libertaire, anarchiste, marxiste, individualiste, révolutionnaire, anti-fasciste
    C'est pas à proprement parler le capitalisme qui crée les richesses, c'est toujours le travail. Cependant il a raison, le capitalisme mobilise beaucoup plus efficacement (et pas juste en faisant travailler plus et plus dur) le travail que n'importe quel système précédent. On produit beaucoup, beaucoup plus qu'avant et beaucoup, beaucoup plus rapidement.
     
  12. Anarchie 13
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    Anarchie 13   Comité auto-gestion Membre actif

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  13. libertaire, anarchiste, marxiste, individualiste, révolutionnaire, anti-fasciste
    Je répète du coup sur ce point en particulier : justement ! le capital ne crée PAS de richesse. Il accapare des richesses créées par le prolétariat. Donc si on en revient à la citation ce n'est pas un bourgeois qui crée plein de richesses e qui, dans sa magnanimité, en offre généreusement aux autres. C'est un bourgeois qui fait suer des prolos pour créer des richesses, se les accapare et après fait zarma le philanthrope en leur redistribuant une partie infime de la richesse qu'ils ont créé.

    L'illusion tient parce que le capitalisme organise la production de manière super efficace (mais du coup avec une énorme exploitation des travailleurs) donc même une partie infime de la richesse reste conséquente et permet d'augmenter le niveau de vie des prolétaires. Sauf qu'il faut encore préciser quelque chose : cette amélioration du niveau de vie des prolétaires est presque un dommage collatéral pour le capital. Car le capital est peut-être amoral mais il a bel et bien une finalité qui n'est pas le bien-être de tous. C'est le profit et le profit est en contradiction avec le bien-être de tous.
    L'amélioration des conditions de vie n'est possible que parce que le prolétariat FORCE le capital à redistribuer la richesse. Sans quoi aucun bourgeois ne serait magnanime.
     
  14. Critobule
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    Critobule Membre du forum

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    Les besoins, peut-être, mais les désirs ? C'est pour satisfaire leurs désirs que les gens bossent, aujourd'hui (chez nous, en tout cas). Mais je doute que l'on puisse, avec tous les moyens du monde, satisfaire les désirs ne serait-ce que d'une seule personne. Les désirs ne sont pas toujours cohérents, et nous poussent toujours à vouloir plus... d'où la nécessité, ne serait-ce qu'à titre de règle de vie individuelle, de faire preuve de modération pour être heureux.
    Par contre, vouloir être modéré à la place des autres, leurs dire "prenez ceci, c'est ce dont vous avez besoin, mais n'en demander pas plus !" ça me semble tout à fait autoritaire et illégitime !
    Bien sûr, les bourgeois veulent plus que les prolétaires, étant donné que l'on désir toujours un peu plus que ce que l'on a, c'est ceux qui on déjà le plus qui désirent le plus. Mais au fond, il s'agit d'un mécanisme humain auquel pas grand monde n'échappe.

    Mais l'avancé technologique et le capitalisme sont intimement liée, et c'est plus qu'une simple coïncidence historique. Joseph Schumpeter l'analyse assez bien, je trouve : à la recherche du profit, les entrepreneurs cherchent en permanence à innover pour avoir brièvement un monopole de leur nouvelle invention, brisant l'équilibre concurrentiel, qui va par la suite se rétablir au fur et à mesure que les autres imiterons les nouveautés, etc, par cycle, faisant constament avancer la technologie. Ce n'est pas pour rien que l'occident a pris une avancé technologique phénoménale avec le capitalisme, et que ça continue toujours de plus en plus vite.

    Bien normal. S'il s'agissait, par exemple, d'une personne qui devait distribuer des pommes à ses amis, il serait normal de ne pas être heureux d'un partage inégalitaire (à moins, à la limite, qu'il soit fait selon les besoins de chacun). Mais il s'agit ici non pas de choisir un mode de distribution indépendant de la richesse préalablement créé, mais de choisir une certain fonctionnement, impersonnel, qui créé des richesses, au prix d'inégalités (mais tout en donnant bien souvent plus au plus défavorisé qu'il n'en aurait eu dans un autre système).
    Mais il ne s'agit pas nécessairement de jalousie, il peut aussi s'agir d'un mauvais discernement des choses, conduisant à personnaliser le marché, ou à oublier que dans un système individualiste, la production n'est pas distincte de la distribution.

    Bon, on y est, la grosse question. Je vais tenter de répondre.
    En fait, c'est même pire que ça. Le capitaliste ne fait même pas preuve de la moindre once de générosité (en temps habituel). Si il "donne" de la richesse aux prolétaires, ce n'est bien entendu qu'en échange de leur travail, et dans le but de s'enrichir encore plus.

    Avant d'aller plus loin, un petit rappel : s'enrichir grâce aux autres, ce n'est pas nécessairement s'enrichir à leur dépend. Dans le sinistre monde capitaliste où nous vivons, lorsque je vais à la boulangerie, je n'attends pas du boulanger qu'il me nourrisse par générosité. Il peut bien être une honnête personne, faire son boulot avec intégrité, et traiter tout le monde avec respect, je sais bien qu'il ne va pas bosser gratuitement, et que s'il fait du pain, c'est pour tirer profit de moi. Mais bien entendu, je n'y vois aucun inconvénient, je veux justement du pain ! Et au moment où j'y vais, j'accorde plus de valeur à son pain qu'à la pièce de 1€ dans ma poche (sans quoi je n’achèterais pas), donc j'y trouve mon compte. D'ailleurs, lui aussi pourrait s'estimer exploiter, et se dire, à propos de moi "Ah, le salaud ! S'il me donne de l'argent, c'est uniquement pour mon pain ! Pour le fruit de mon travail ! Et bien sûr, ce scélérat, si je lui demande plus, il ira chez le concurrent !" Tout ceci serait vrai, mais si ce monsieur n'était pas content de sa situation... il n'a qu'à trouver un autre métier ! Personne ne l'oblige à faire et vendre du pain.

    Maintenant, avant d'en venir au capital : il y a des biens de consommation final, et de biens intermédiaire. J'achète du pain pour le manger -> consommation final. Le boulanger achète de la farine pour faire du pain -> intermédiaire. En outre, peuvent s'acheter des s'échanger des biens autant que des services, il n'y a pas vraiment de différence entre les deux. Voilà, je te propose de voir le travail salarié comme un service intermédiaire, qu'achète le patron pour vendre ensuite je ne sais quel bien ou service -le que fait la boîte, quoi. Le patron est donc le "client" de son salarié, de la même façon que le boulanger est le client du meunier. Et à moins de considérer que les boulangers oppressent les meuniers, je ne vois pas pourquoi il faudrait considérer que les patrons oppressent les employées.
     
  15. Eh ben, je ne peux que rester béant devant tes derniers arguti d'économiste !
    Cachottier ! Et tu nous disais que tu étudiais la philosophie !
    Mais passe plutôt un master en éco ! :)
     
  16. Anarchie 13
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    Anarchie 13   Comité auto-gestion Membre actif

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  17. libertaire, anarchiste, marxiste, individualiste, révolutionnaire, anti-fasciste
    Je pense que le décalage entre désirs est besoins est un vice des exploiteurs. Ce sont les bourgeois qui ont les désirs les plus extravagants. Et les rois et Eglises avant eux. Bien sûr c'est contagieux mais je pense que dans une société sans classe avec une gestion collective et forcément réfléchie de la production ça s'estomperait.
    Et la plupart des galériens qui disent rêver d'une porche et d'une villa pour leur mère n'accepteraient pas de l'obtenir du jour au lendemain aux dépens d'autres gens qui vivent comme eux. Par contre s'ils deviennent bourgeois entre-temps ils s'éloignent des autres prolos et ça leur pose de moins en moins problème. En tout cas pour moi c'est ce qui explique ce dans quoi tombent certains bouffons de "rapeurs".

    Je crois pas que t'arriveras à prouver ça.

    On s'est pas compris, j'ai pas dit "il faut avancer technologiquement pour pouvoir combler les besoins de tous" j'ai dit que désormais on a une technologie qui nous permet de combler les besoins de tous mais qui est gaspillée par la bourgeoisie pour faire plus de profit.

    Non, il s'agit de choisir un mode de production qui a produit plus que le mode de production précédent mais pas nécessairement plus que n'importe quel mode de production. En revanche, ce dont on est sûr, c'est que ce mode de production redistribue de façon inégalitaire mais aussi illégitime les richesses créées. Et qu'il est impossible que ça se passe autrement.

    Dans le capitalisme le boulanger ne se fait pas du profit sur toi mais sur ses autres salariés donc ça ne te choque pas peut-être aussi parce que tu n'es pas concerné contrairement à ce que tu penses. Et s'il est tout seul il s'exploite lui-même, c'est-à-dire que si jamais le chiffre d'affaire chute il va baisser son salaire pour pouvoir continuer à payer les taxes, les matières premières voir investir de nouveau. Dans ce cas dire qu'il "profite" est un bien grand mot.

    T'es sérieux ? Tu me proposes de voir le monde comme un bâtard de libéral afin de ne pas trop accabler le pauvre patron ?
    Sauf que ton explication occulte complètement la question de la plus-value. Le patron ne paye pas ton travail mais ta force de travail qui lui coûte bien évidemment moins chère lui permettant de se mettre dans sa poche le reste de l'argent de la vente des marchandises que TU as produites.
    Si ton patron payait la valeur marchande réelle de ton travail le capitaliste n'aurait rien. Est-ce-que t'as l'impression que les capitalistes n'ont rien ?
    Pour ma part je suis de toute manière pour qu'on abolisse le marché alors même si le travail était rémunéré à sa juste valeur marchande (comme dans le veulent les partisans des coopératives) ça resterait un système de merde. Il resterait en effet le problème de la concurrence.
    Bref, y a un gros problème pour moi dans ta vision de l'économie concernant le profit. Et effectivement si tu parles pas du profit ben c'est difficile de parler d'exploitation.
     
  18. Mathys
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    Mathys Membre du forum Membre actif

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  19. libertaire, anarchiste, anarcho-communiste, , internationaliste, auto-gestionnaire, anarcho-fédéraliste
    C'est difficile de comparer des paroles d'il y a pkusieur siècle avec nos moeurs moderne
     
  20. Mathys
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    Mathys Membre du forum Membre actif

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    Août 2018
    Homme
    France
  21. libertaire, anarchiste, anarcho-communiste, , internationaliste, auto-gestionnaire, anarcho-fédéraliste

    Je pense que l'anarchisme c'est tous simplement la remise en cause de toute autorité .
    C'est la base étymologique er historique et ça sert aussi de base pour lutter contre la hiérarchie en général et par exemple des sexe ( autaurité de l'un) ou de la hiérarchie de race .
     
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