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Un jeune anarchiste de 15ans assassiné par la police Grecque

Discussion dans 'Luttes Internationales' créé par an-(A)-r_kro_punk, 7 Décembre 2008.

  1. niouze
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    niouze Membre du forum Expulsé par vote

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    Nov 2007
  2. libertaire
    EA lutte revolutionnaire est groupe d'obediance marxiste (donc autoritaire) je dit sa avant que certain se mette a les applaudir
    d'ailleurs je sait plus ou j'ai lu sa met y a un auteur (ptet debors mais je suis pas sur) qui explique que ce type de lutte armée nuit a une réel revolte en renforçant de fait le pouvoir etatiste dans sa repression
    c'est meme a se demander dans la lutte que menne actuelement les grecs si ceux ci si ceux ci ne sont pas téléguider
    en tout cas pour moi il ne font pas avancer la cause au contraire
     
  3. jeunevoleur
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    jeunevoleur Membre du forum Membre actif

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    Mar 2008
  4. NeUrOn
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    NeUrOn La fin d'un monde... Membre actif

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    Déc 2008
    Athènes bâillonée par la peur

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    Athènes bâillonée par la peur


    On ne parle plus de la Grèce, et pour cause : un silence brutal et troublant s’est abattu sur la capitale.


    Finis les rassemblements pacifiques devant le Parlement. Les tags ont été effacés et l’énorme sapin remplacé puis enlevé. Un peu plus loin, l’École polytechnique a retrouvé ses jardins verdoyants et ses grilles sur lesquelles ne s’appuient plus que deux banderoles fugitives appelant à la libération des manifestants arrêtés il y a deux mois. Tout semble être « rentré dans l’ordre », presque naturellement. Mais en réalité, quand on fait le tour des bâtiments, on découvre des dizaines de militaires armés de fusils d’assaut postés juste derrière : dans les rue Bouboulinas et Zaïmi où commence le quartier d’Exarcheia. A la tombée de la nuit, viennent y stationner également plusieurs cars de police. « Quand nous avons vu l’armée entrer dans l’École, il y a trois semaines, nous avons été stupéfaits, témoigne Sophia Wexler, professeur de français, et habitante du campus de Polytechnique. Jamais nous n’avions imaginé qu’ils puissent oser enfreindre cet interdit. Cela faisant 35 ans que l’enceinte de l’École était un périmètre protégé. C’était le symbole de la chute du régime des Colonels et il a été piétiné par le retour des uniformes. »

    Un événement arrive à point nommé pour justifier ce durcissement : un groupe anarchiste inconnu aurait revendiqué une tentative avortée d’attentat contre le commissariat de Police de Korydallos, le 3 février, en déclarant dans un communiqué invérifiable que « maintenant, la vie d’un flic coûtera ce que coûte une balle ». Des journalistes émettent des doutes. La plupart des militants crient au mensonge et à la manipulation. « Secte des révolutionnaires » : un nom d’organisation très bizarre d’après ceux qui ont manifester durant le mois de décembre. Nikos, étudiant en histoire et membre d’un groupe libertaire très impliqué dans les émeutes, précise : « les conseillers du gouvernement ont tout simplement utilisé les vieilles ficelles qui marchent encore malheureusement… Faire peur, par tous les moyens, voilà l’unique préoccupation. Ils essayent de nous faire passer pour des criminels alors qu’on a juste détruit quelques banques. Ils nous empêchent de répondre dans nos propres médias à coup de perquisitions et de saisies d’ordinateurs. Ils agitent à nouveau le chiffon de la guerre avec la Turquie, en diffusant des rumeurs imbéciles et en envoyant des navires dans les eaux territoriales de part et d’autre. Ils invoquent le bon sens et la responsabilité citoyenne en rappelant les rapports économiques alarmants ainsi que l’appel au calme et à l’intérêt national lancé par le patriarche de l’Église orthodoxe. Et ça marche ! Tout le monde a peur. »

    Sauf quelques animateurs du mouvement de décembre qui continuent à se réunir pour envisager la suite. Mais plus à Exarcheia. Désormais, les discussions ont migré de l’autre côté d’Omonia, dans les nombreux squats des rues Sophocle et Ménandrou qui ne désemplissent pas et dans lesquels les étudiants se mélangent avec la population la plus misérable d’Athènes. Celle qui ne peut plus attendre.

    Article publié par Yannis Youlountas dans Siné Hebdo du mercredi 11 février 2009.
     
  5. Hoddy Evalb
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    Hoddy Evalb Banned from the Roxy Membre actif

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    Fev 2008
  6. anarchiste, internationaliste, auto-gestionnaire
    Sinon, on dirait qu'il y'en a toujours qui font courir les flics en Grèce :p :



    http://www.lefigaro.fr/international/20 ... olice-.php
     
  7. Lib.R.T
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    Lib.R.T le traitre du dictateur. Membre actif

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    Août 2008
    Attaques incendiaires en Grèce

    AFP
    31/03/2009

     
  8. A coups de cocktails molotov des banques ont été attaquées cette nuit ainsi que les locaux de La Nouvelle Démocratie dans la ville de Byron au nord de l’Attique. Les attaquant ont mis le feu à des poubelles qu’ils ont utilisé comme barricades pour empêcher la police d’intervenir trop tôt. Ils ont réussi à prendre la fuite. Dans le quartier de Zographou à Athènes, ce sont aussi les locaux de la ND qui ont été attaqués.

    Cette nuit également à Argyroupoli (banlieue sud d’Athènes) un incendie a détruit une entreprise de bâteaux de plaisance et environ 20 navires à la suite d’un incendie « criminel » dans l’un des bâteau. Une explosion a été entendu au début.

    Dimanche 29 mars Sept policiers qui patrouillaient dans le centre d’Athènes ont été attaqués par une cinquantaine de personnes (la presse parle d’anarchistes) qui ont ensuite détruit la façade d’une banque.


    Le 28 , dans le quartier de Gkisi (Athènes), plusieurs centaines d’habitants manifestent contre les antennes de téléphone mobile ; l’une d’entre elle a été mise hors d’usage.

    Quartier Philadelphia, à Athènes, un bâtiment vide appartenant à ma municipalité a été occupé dans le but d’être transformé en centre social autogéré.

    A Ioannina , 200 manifestants contre le fascisme. Des distributeurs automatiques de billets ont été détruits. Même scénarion contre les distributeurs à Serres.

    Les 23 et 15 à Thessalonique plusieurs locaux de partis politiques (toutes les tendances) ont été attaqués. En pleine nuit un concessionnaire jaguar à été détruit à coups de cocktails molotov, ainsi que la facede d’une banque.

    En Crète, à Héraklion , la basilique San Marco a été occupée pour que s’y tienne une journée de solidarité organisée par les « insurgés d’Héraklion ».

    Le 27 à Mytilène dans l’île de Lesbos, manifestation contre le terrorisme d’Etat : L’ordre et la « sécurité » n’empêcherons pas les futures révoltes (en Grèce, au moins, l’optimisme est de rigueur !)

    Tiré de : http://oclibertaire.free.fr
    Quelques attaques récentes de mi-janvier jusqu’au début mars
    Quelques attaques

    16/01 Athènes - Le ‘Commando Anarchiste Entropie’ revendique trois attaques incendiaires contre les bureaux du KKE (le parti stalinien), la Banque de l’Agriculture et une voiture non spécifiée (le 14, 15 et 16 janvier), entre autres en solidarité avec l’anarchiste Dimitrakis.

    18/01 Holargos - Une filiale de la banque de Chypre est incendiée en solidarité avec Dimitrakis.

    25/01 Athènes - Attaque incendiaire avec des cocktails molotov contre une filiale de la Banque de l’Agriculture. Depuis plusieurs mois déjà, des mouvements de paysans sont en cours contre la politique du gouvernement et le hausse des prix (par exemple le carburant).

    25/01 Athènes - Le ‘Groupe anarchiste des Enfants de la Nuit’ attaque des fourgons de la police anti-émeute MAT à coups de pierres et de cocktails en solidarité avec les arrêtés de décembre.

    25/01 Thessalonique - 15 distributeurs de billets sont bloqués avec de la mousse isolante in solidarité avec les arrêtés de décembre.

    28/01 Volos - Attaque incendiaire contre les bureaux du ministère des Affaires Intérieures en solidarité avec les arrêtés de décembre.

    28/01 Chypre - Attaques incendiaires contre la Banque de Chypre et la Deutsche Bank en solidarité avec l’anarchiste Ilias Nikolaou.

    28/01 Thessalonique & Athènes - Les ‘Cellules hors-la-loi Carpe Noctem’ incendient un concessionnaire BMW (6 véhicules brûlées, dégâts sur le rez-de-chaussée et le premier étage) à Athènes et des voitures d’une entreprise de sécurité privée et de la commune à Thessalonique. Ainsi ils ont voulu envoyer un signal révolutionnaire de fumée à l’anarchiste Ilias Nikolaou.

    29/01 Athènes - Le ‘Noyau pour l’Action Guérilla’ revendique trois attaques incendiaires : contre une voiture diplomatique de l’ambassade de Arabie Saoudite (22/01), contre une autre véhicule diplomatique (24/01) et contre une voiture d’un ministère (29/01).

    1/02 Ambelokipi - Les ‘Ombres enragés’ incendient une filiale de la Banque Emporiki en solidarité avec l’anarchiste Dimitrakis. La banque part entièrement en fumée.

    3/02 Athènes - Le ‘Secte Révolutionnaire’ tirent des coups de feu contre le commissariat de Korydallos (15 balles de différents calibres) et jettent une grenade défensive. Aucun flic blessé. 3/02 Thessalonique - Attaque incendiaire contre les bureaux de Tsitouridi (membre de Nea Demokratia) en solidarité avec les anarchistes Ilias Nikolaou et Giannis Dimitrakis.

    3/02 Halandri - Attaque incendiaire avec des campingaz contre un concessionnaire. 14 voitures de luxe endommagées. L’attaque est revendiquée comme signe de solidarité avec les prisonniers anarchistes. 4/02 Athènes - Attaque nocturne à coups de cocktails contre le commissariat de Barbara.

    4/02 Athènes - Attaque nocturne à coups de cocktails contre des véhicules de police garées devant le commissaraiat de Kozani.

    5/02 Ilion - Plusieurs distributeurs de billets incendiés.

    6/02 Athènes - Attaque incendiaire avec de campingaz contre les bureaux de Marakgiannaki (ministre de l’Ordre Publique) vers 5h du matin en solidarité avec les arrêtés de décembre et les prisonniers anarchistes.

    6/02 Athènes - Des anarchistes attaquent pendant la journée une agence d’interim de Manpower en solidarité avec Konstantina Kouneva. L’intérieur est endommagé à coups de marteaux et de bâtons. Konstantina a été attaquée avec du vitriol par des mercenaires de l’entreprise de nettoyage Oikomet où elle travaillait. Elle est déléguée syndicale d’un syndicat autonome de nettoyeurs.

    6/02 Thessalonique - Deux voitures d’une chaîne de télévision et des jeeps de la commune sont incendiées en solidarité avec les anarchistes Ilias Nikolaou et Giannis Dimitrakis.

    11/02 Thessalonique - Le matin, des cocktails sont jetés contre un commissariat. Un sex-shop part en fumée.

    11/02 Heraklion - Un engin incendiaire avec des campingaz endommage l’entrée et la façade de la Banque Pan-Coopérative.

    11/02 Korfou - Un jeep d’une institution de l’Etat part en fumée.

    11 & 12/02 Athènes et Thessalonique - La ‘Conspiration des Cellules de Feu Athènes-Thessalonique’ revendiquent douze attaques incendiaires successives (de nuit et de jour). A 2h du matin, la série commence avec une attaque contre les bureaux de Pangalos (politicien du PASOK) et contre le jeep du journaliste Panagiotou qui travaille pour le quotidien ‘Nation’. Cinq minutes plus tard, deux distributeurs de billets de la Banque Nationale sont incendiés à Petrolano (où en 1984 le policier Matis a été tué par le 17 Novembre). Simultanément, un engin incendiaire avec des campingaz explose à l’entrée de la Banque de la Poste. Le matin, la maison de Babiniotis, un recteur conservatif, est attaquée avec un engin composé de campingaz. Un deuxième engin explose devant la maison de Doxiadis, un intellectuel aristocratique. Une minute plus tard, un troisième engin est laissé devant un autre filiale de la Banque de la Poste et découvert avant d’exploser par des agents de sécurité. Peu après 6h du matin, un inconnu grimpe jusqu’à deuxième étage de la maison du procureur Papangelopoulos (le chef de l’anti-terrorisme). Le gardien de nuit était parti à 6h tandis que l’agent de sécurité ne vient qu’à 7h. L’inconnu a placé un engin incendiaire qui a provoqué un incendie limité. A 12h15, un engin incendiaire laissé devant la porte de l’appartement de Basil Foucault (juge de la Haute Cour de Justice, impliqué dans le procès contre le 17 Novembre) au septième étage explose et provoque des dégâts légers. A 12h17, un engin incendiaire explose devant la porte des bureaux du procureur Stavros Georgiou au quatrième étage (impliqué dans le procès contre le 17 Novembre). Dans l’après-midi, un engin incendiaire explose dans les bureaux du criminologue Panousis. A 16h07, un engin incendiaire explose devant les bureaux du quotidien Rizospastis. A 16h10, un engin incendiaire explose devant la porte de l’appartement familial de Pangalos (membre du PASOK). A 16h30, un engin incendiaire explose devant les bureaux politiques de Pangalos, situés au troisième étage. A Thessalonique, un engin incendiaire explose pendant la nuit devant une Banque de la Poste. Un deuxième engin est placé devant les bâtiments de la Défense Nationale. Au cours de l’après-midi, trois attaques incendiaires sont réalisés contre les bureaux du quotidien ‘Nouvelles’, contre les bureaux de ‘Macédoine Demain’ et contre les bureaux des partis de la coalition gouvernementale.

    13/02 Athènes - L’entreprise de bâtiment Kion est attaquée à coups de pierres et de batons. Cet entreprise collabore à la gestion et la construction des prisons grecques.

    13/02 Chania - Une voiture du Bureau Touristique et une voiture du Service d’Impôts sont incendiées.

    17/02 Athènes - Attaque incendiaire contre les bureaux d’Oikomet (entreprise de nettoyage) en solidarité avec Konstantina. Le premier et le deuxième étage sont détruits.

    17/02 Thessalonique - Des élèves enferment 31 professeurs et la direction entière pendant quelques heurs pour protéster contre les sanctions infligées à quatre élèves. Finalement, la direction a cédée. 17/02 Athènes - Vers 19h15, la ‘Secte Révolutionnaire’ tire contre les bureaux et les voitures de la chaîne de télévision Alter. Ils jettent aussi un explosif artisanal (une cannette de bière remplis de poudre et une mèche) qui n’explose pas. La revendication qui suivait faisait référence au rôle de laquais des journalistes et des médias.

    17/02 Chania - Trois fourgons de transport de fonds de Group 4 Security sont incendiés à l’aide de campingaz. L’action est entre autre dédiée aux compagnons Dimitrakis et Voutsis-Vogiatzis.

    18/02 Athènes - A Kifissia, une voiture piègée est découverte et démantelée devant une filiale de la Citybank. Dans la voiture se trouvait plusieurs bombonnes de gaz. Selon la police, le mécanisme de mise à feu n’aurait pas fonctionné.

    18/02 Athènes - Une centaine de personnes perturbent une conférence sur la prison. Un professeur qui était censé parler est blessé, les bâtiments universitaires où se tenait la conférence sont gravement endommagées.

    18/02 Seres - Jet de peinture contre une filiale de la Banque Nationale en solidarité avec les prisonniers anarchistes.

    19/02 Xanthi - Une filiale de la Banque Nationale part entièrement en fumée.

    19/02 Athènes - Deux entreprises de nettoyage sont attaqués en journée comme signe de solidarité avec Konstantina.

    20/02 Heraklion - Tentative d’incendie contre un supermarché.

    20/02 Athènes - Attaque incendiaire contre les locaux d’une association nationalo-chrétienne

    21/02 Tirnavos - Un groupe de 300 personnes attaquent la maison communale pour protéster contre l’électrocution d’un tsigane suite au refus de l’entreprise d’électricité de fournir un raccordement au réseau électrique pour un campement de tsiganes.

    21/02 Thessalonique - Plusieurs distributeurs de la Banque Nationale sont incendiés.

    22/02 Athènes - Le braqueur Paleokostas et un autre prisonnier s’évadent de la prison de Korydallos avec un hélicoptère. Paleokostas s’est déjà évadé plusieurs fois. Dans l’été de 2008, il a été arrêté avec deux anarchistes sous accusation de la prise d’otage de l’industriel Mylonas.

    24/02 Thessalonique - Dans l’après-midi, quelques personnes attaquent la caserne militaire avec des pierres.

    26/02 Athènes - A Pireaus, les bureaux de Panagiotis Melas, membre du comité centrale de Nea Demokratia, sont attaqués avec un engin incendiaire avec des campingaz. Dans une revendication, ‘Zéro-Tolérance’ exprime sa solidarité avec les arrêtés de décembre et avec l’anarchiste Ilias Nikolaou.

    26/02 Chania - Une 80-aine de personnes détruisent un mirador de la prison et une filiale de la Banque Alpha.

    26/02 Athènes - Manifestation d’un millier de personnes contre l’attaque avec une grenade contre un local d’immigrés. La voiture du président du Conseil d’Etat est détruite, le bureau d’un journal est attaqué, 15 voitures des employés du quotidien sont endommagés. La nuit, deux attaques avec des cocktails contre des unités de la police anti-émeute ; deux voitures de luxe partent en fumée.

    1/03 Ioannina - 21 distributeurs de billets sabotés, action dédiée aux prisonniers anarchistes.

    2/03 Zografou - Attaque incendiaire contre une filiale de la banque Marfin.

    2/03 Athènes - Le matin, ‘Bande de la Conscience - Extrémistes de Perama’ attaquent le station de métro à Kifissia. Neuf rames de métro sont brûlées. Dans un communiqué, ils expriment leur solidarité avec Konstantina, font référence à Julien Coupat incarcéré en France sous accusation de sabotage des lignes de TGV et envoient leur salutations aux révolutionnaires qui intensifient les attaques incendiaires dans des villes grecques plus petites comme Chania, Volos, Seres,...

    4/03 Athènes - Les ‘Groupes d’Incendiaires Nocturnes’ revendiquent une attaque à coups de cocktails et de campingaz contre une banque : « Le matin du 4 mars, nous avons brûlé entièrement (deux étages) la Banque de Pireaus à Kifissia. Nous ajoutons ainsi encore quelques kilos aux tas de cendres de la destruction. Ainsi, nous contribuons à la poursuite de la crise du système capitaliste dans les pays occidentaux. Les banques sont des piliers du système, les opérateurs du capital financier-économique, et seront donc toujours un cible. A part ça, nous avons choisi cette banque plus spécifiquement parce que sa direction a alloué une compensation de 100 000 euros aux deux braves citoyens qui ont aidé à capturer les deux Géorgiens qui venaient de braquer une banque de Pireaus à Athènes. Notre solidarité. Nous dédions cette attaque à Dimitrakis, Georgiadis, Voutsis-Vogiatzis, Kiriakopoulos, Nikolaou et les arrêtés de l’insurrection de décembre. Finalement, bienvenue à tous ceux qui contribuent à la création d’une nouvelle guérilla urbaine à coups de feu, de vitres brisés, de balles et de grenades. »

    6/03 Athènes - Incendie dans les locaux du parti Nea Demokratia.

    6/03 Athènes - Des unités de la police anti-émeute stationnée en permanence devant les bureaux du PASOK près d’Exarchia sont attaquées à coups de cocktails. 7/03 Thessalonique - Le ‘Commande Teslas de Nikolaou’ met le feu à six véhicules de l’entreprise d’électricité à l’aide d’essence et des campingaz. Attaque dédiée à l’anarchiste Ilias Nikolaou.

    7/03 Athènes - Incendie dans une filiale de la Banque de Chypre et dans les bureaux d’une agence internationale d’assurances. Attaque revendiqué par les ‘Ombres Enragés’ et dédiée à l’anarchiste Ilias Nikolaou.

    8/03 Athènes - Les ‘Unités pour la Dégradation’ revendiquent trois attaques incendiaires simultanées contre deux magasins de luxe et les bureaux de l’Inspection de Travail. Ils dédient l’attaque au compagnon antiautoritaire Voutsis-Vogiatzis, incarcéré pour un braquage de banque.

    9/03 Filothei - Une bombe détruit une filiale de la Citybank.
    [Traduit du grec à partir du site http//bellumperpetuum.blogspot. com et publié dans La Cavale, correspondance de la lutte contre la prison, numéro 15, Belgique]

    InsurgeEs
     
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