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Le triomphe de l'anarchie

Discussion dans 'Archive' créé par Ruban Rouge, 11 Novembre 2007.

  1. Ruban Rouge
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    Ruban Rouge Militant? Bof. Nan. Membre actif

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    Mai 2007
    Lala-lala, lala-lala-la la
    Lala-lala, lala-lala-lala

    Tu veux bâtir des cités idéales
    Détruis d'abord les monstruosités
    Gouvernements, casernes et cathédrales
    Qui sont pour nous autant d'absurdités
    Sans plus attendre, gagnons le communisme
    Ne nous groupons que par affinités
    Notre bonheur naîtra de l'altruisme
    Que nos désirs soient des réalités

    Debout, debout, compagnons de misère
    L'heure est venue, il faut nous révolter
    Que le sang coule, et rougisse la terre
    Mais que ce soit pour notre liberté
    C'est reculer que d'être stationnaire
    On le devient de trop philosopher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher


    Empare-toi maintenant de l'usine
    Du capital, deviens le fossoyeur
    Ta vie vaut mieux que d'être une machine
    Tout est à tous, rien n'est à l'exploiteur
    Sans préjugé, suis les lois de nature
    Et ne produis que par nécessité
    Travail facile, ou besogne très dure
    N'ont de valeur qu'en leur utilité

    Debout, debout, compagnons de misère
    L'heure est venue, il faut nous révolter
    Que le sang coule, et rougisse la terre
    Mais que ce soit pour notre liberté
    C'est reculer que d'être stationnaire
    On le devient de trop philosopher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher


    On rêve amour au-delà des frontières
    On rêve amour aussi de ton côté
    On rêve amour dans les nations entières
    L'erreur fait place à la réalité
    Oui, la patrie est une baliverne
    Un sentiment doublé de lâcheté
    Ne deviens pas de la viande à caserne
    Jeune conscrit, mieux te vaut déserter

    Debout, debout, compagnons de misère
    L'heure est venue, il faut nous révolter
    Que le sang coule, et rougisse la terre
    Mais que ce soit pour notre liberté
    C'est reculer que d'être stationnaire
    On le devient de trop philosopher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher


    Que la nitro, comme la dynamite
    Soit là pendant qu'on discute raison
    S'il est besoin, renversons la marmite
    Et de nos maux, hâtons la guérison
    Place pour tous au banquet de la vie
    Notre appétit seul peut se limiter
    Que pour chacun, la table soit servie
    Le ventre plein, l'homme peut discuter

    Debout, debout, compagnons de misère
    L'heure est venue, il faut nous révolter
    Que le sang coule, et rougisse la terre
    Mais que ce soit pour notre liberté
    C'est reculer que d'être stationnaire
    On le devient de trop philosopher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher
    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher


    Debout, debout, vieux révolutionnaire
    Et l'anarchie enfin va triompher

    Charles d'Avray​
     
    Dernière édition par un modérateur: 15 Novembre 2007