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Jean Sarkozy à l’EPAD : la polémique atteint l’Elysée

Discussion dans 'Webzine - actualité des luttes et partage d'articles de presse' créé par ivo, 15 Octobre 2009.

  1. ivo
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    ivo Membre du forum

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    Juin 2007
    Jean Sarkozy à l’EPAD : la polémique atteint l’Elysée
    France Info - 09:12

     
  2. salvevia
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    salvevia Nouveau membre

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    Oct 2009
    j'ai vu qu'il venait de renoncer a la présidence , mais cela n'a pas empecher le p'tit proteger de papa de devenir administrateur ...... Et ce qui me degoute c'est sarko pere qui a surement demander aux flics de venir en masse pour bien tenir a l'ecart les manifestants de l'opposition .
     
  3. .....

     
  4. Moi, Jean S., enfant sans Défense.

    [​IMG] Viktor DEDAJ
    Il est des combats qu’on aurait préféré ne pas avoir à mener. Des combats au bout desquels on se réveillerait en sursaut, trempé de sueur, en poussant un ouf de soulagement. Des combats qui se termineraient par un regard circulaire autour de la chambre, à faire l’inventaire des choses qui comptent dans la vie ; à reprendre contact avec la réalité en posant sa main sur l’épaule qui somnole à ses côtés ; à sentir le lent reflux du cauchemar laisser place à une forme de soulagement. Seulement voilà, dans la vraie vie, ce n’est pas comme ça que ça se passe. Dans cette vie-là, c’est-à-dire celle-ci, il n’y a que des combats qu’on a décidé de ne pas abandonner. En voici un.
    Cher Jean S.
    Je voudrais exprimer par la présente toute ma solidarité. Je vous ai observé, tel un bébé phoque échoué sur la banquise de la vie publique recevoir les coups de gourdins de la populace déchainée. Je vois encore vos yeux m’interpeller d’un « m... mais, pourquoi ? » innocent et déchirant. Alors me voici.
    Si la classe médiatico-politique a su se mobiliser pour défendre quelques pédophiles bien introduits dans le milieu, j’aimerais être celui qui - pour une fois - défendra l’enfant que vous êtes, virgule, demeuré.
    Et quoi de plus tendre, de plus émouvant qu’un enfant sans Défense ?
    Oui, je sais. On dit que vous êtes « bien né » et on vous reprocherait presque que le hasard de la vie vous ait donné comme père un homme qui a été élu P. de la Ré. Mais sachez-le, Jean S., moi je vous aime bien, tout fils de P. que vous êtes.
    Et il faut être vraiment aveugle pour ne pas reconnaître les qualités qui font de vous un être d’une autre trempe. Une trempe que j’aurais été fier de vous filer moi-même, n’en déplaise aux envieux, car je sais combien vous la méritez, cette trempe.
    23 ans… ah le bel âge. Et dire qu’il y a cinq ans à peine, vous n’aviez même pas le droit de voter. Mais que de choses apprises, en si peu de temps ! Qu’ils raillent ! Qu’ils gloussent : car que connaissent-ils, tous ces montreurs du doigt, des affres ressentis lorsqu’il faut passer pour la énième fois par la case départ d’une année d’études ? Eh oui, tellement de choses apprises aux côtés de son papa.
    - Jean …
    - Oui, p’pa ?
    - je veux que tu prennes la direction de la Défense.
    - Ok. Je tourne au feu et on y est dans 10 minutes.
    - (Soupir... Eh ben c’est pas gagné... Sa mère avait raison au moins sur un point...)
    Des causes perdues, Jean S., j’en ai connues. Mais vous êtes probablement une des plus grandes causes perdues que la France d’en haut ait jamais pondue dans ses poulaillers d’acajou. (et dire que je ne sais toujours pas s’il faut faire concorder "pondue" ou pas)
    Cela dit, je regrette amèrement que vous ayez renoncé à briguer la tête du quartier d’affaires de la Défense. En effet, je ne vois pas au nom de quoi certains vous reprocheraient votre candidature. Dans notre belle et vivante démocratie, n’importe quel clampin de passage peut se « déclarer » candidat à quelque chose. Et alors ? OU est le problème ? Le problème n’est pas dans la candidature, Jean S. Le problème est dans le résultat de l’élection.
    On a un peu trop facilement oublié que si vous (Jean S.) étiez candidat, c’est que ces messieurs (les membres du conseil d’administration de l’EPAD) allaient voter pour vous. Vous entendez ? Ils allaient le faire !
    En retirant votre candidature, Jean S. vous avez privé la France du spectacle grandiose, grandiloquent, grotesque et Omar Bongoesque d’un conseil d’administration composé de « responsables » de haut niveau baisser leurs pantalons jusqu’aux chevilles, caleçons avec, pour élire le fils légèrement post-pubère du Boss à la tête d’un des plus gros centres d’affaires en Europe.
    J’aurais aimé voir capter sur vidéo - et pour la postérité, avec la liste des noms et tout - cette tribu de singes en costumes trois pièces en train de vous élire avec moins d’états d’âme que de préliminaires en pleine saison de rut.
    Car le scandale, le véritable scandale, n’est pas votre candidature, Jean S… Le véritable scandale, c’est que votre candidature n’a pas été accueillie au sein du C.A. par quelques sourires amusés - avant de passer à des choses plus sérieuses...
    Le véritable scandale, donc, c’est que ces types aient pu prendre votre candidature au sérieux.
    Le véritable scandale, c’est qu’ils allaient vous élire, ces cons.
    Et l’autre véritable scandale, celui qui me donne le vertige, c’est qu’ils sont toujours en place.
    Et vous me demandez encore, Jean S., d’où vient cet étrange sentiment que plus rien n’a de sens dans la France d’aujourd’hui ?
    Viktor Dedaj
    "y’a de quoi monter dans les tours"


    URL de cet article
    http://www.legrandsoir.info/Moi-Jean-S-enfant-sans-Defense.html
     
  5. Affaire Jean Sarkozy : l'Elysée avait commandé et payé des sondages

    Depuis deux semaines, l'éventuelle nomination de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad, organisme qui gère les intérêts du quartier d'affaire de la Défense, a fait les joies de la presse. Face à la pression médiatique, Jean Sarkozy a finalement renoncé. Mais contrairement à ce qu'il a affirmé hier, il ne s'est pas contenté d'en discuter "avec son père". C'est tout l'Elysée qui s'est mobilisé derrière Jean Sarkozy depuis quelques jours. Les services du chef de l'Etat ont même commandé des sondages qui se sont avérés catastrophiques. (...)
    Le chef de l'Etat et son fils ont commencé à vraiment s'inquiéter dimanche 18 octobre. Ce jour-là, Nicolas et Jean Sarkozy se retrouvent autour d'un déjeuner (...) Dans toutes les enquêtes commandées par l'Elysée, la candidature de Jean Sarkozy est un sujet majeur de mécontentement parmi les électeurs UMP. Patrick Buisson, qui fût l'artisan de la stratégie de siphonnage de l'électorat d'extrême droite, en 2007, note par ailleurs une inquiétante remontée du Front national. La polémique lancée par Marine Le Pen sur Frédéric Mitterrand a exaspéré. L'élection annoncée de Jean Sarkozy est prise comme un retour des faveurs et des prébendes." (...)
    Fin de l'affaire, mais deux questions demeurent


    1. Est-il normal que l'Elysée utilise l'argent public pour commander des sondages sur les conséquences de l'affaire Jean Sarkozy dans l'opinion ?
    On a appris la semaine dernière que l’Elysée dépensait 43 000 euros par mois rien que pour des conseils en opinion.

    2. Pourquoi le Monde n'a-t-il pas accordé plus de place à cette information ?
    En faire un titre de Une est nécessairement polémique et l’enquête du Monde, plus large, évoque les coulisses et le dénouement de cette affaire. Or, le quotidien est déjà sur la sellette et fait l’objet de vives critiques de la part de l’Elysée qui lui reproche d’être anti-Sarkozyste. Le directeur du Monde, Eric Fottorino, a dû expliquer lors d’une interview au Post.fr que le journal n’était pas contre le Président mais rappelait des faits. Alors autant éviter d’insister sur ceux qui font mal, comme par exemple ces sondages payés par le contribuable… Source et suite
     
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