Creation d'un aperiodique à destination du grand public

hé les gars, je pensais à un truc, si l'apériodique arrive à faire cogiter quelques gens, et qu'ils désident de "lutter", faudrait peut-être leurs donner des conseils, ou comment faire précisément en rapport avec un sujet précis, mais sans faire trop anar (sais pas si vous avez réussi à suivre).

et puis, je trouve les articles en général un peu long, faut pas oublier que ça vise des gens qui sont dans le "métro, boulot, dodo" faut que ce soit court pour qu'ils le lisent jusqu'au bout et que ça les fasse cogiter complétement.

 

C'est pas une bonne chose à faire je trouve. On pourrait nous reprocher de pousser à la rébellion. Ceux qui voudront en savoir plus s'adresserons directement à nous.

Les articles ne feront qu'une dizaine de lignes sur la papier. Tu trouve ça beaucoup ?

 

t'as peut-être raison pour la rubrique que je proposais.
une dizaine de lignes ça passe niquel, mais comme je m'étais tapé les 14 pages de ce topic j'ai pas eu le courage de lire la plus part des articles (ils paraissent long) mais c'est peut-être en comparaison des messages du topic.

 

Bon on fait quoi maintenant, vu que il y a plus d'articles a rédiger?

 

Oui ça doit surement être ça. Je propose qu'on rassemble d'abord tous les membres voulant faire partie de cette paériodique et après de commencer la mise en page !

 

Présent

 

pareil

 

Scout toujours prêt...

 

Présent aussi, même si je ne suis pas intervenu sur ce forum, pour ajuster l'orthographe et la ponctuation des articles déjà écrits, pour rédiger un article court sur la pseudo-démocratie et l'exclusion des masses au pouvoir , et pour éditer (pas en grande quantité) et distribuer sur Nice et l'arrière pays.

 

c'est une bonne idée de faire un article sur ça !

 

Tu veut bien éditer le journal? ds ce cas on te fil tous les articles?

 

Je me mets au travail et poste l'article tout bientôt.

 

Pardon Ananar, j'ai pas vu ton intervention ce matin. Je peux éditer, mais encore une fois ce sera pas la grosse édition, juste pour distribuer dans mon secteur. Avant ça, je vous propose de corriger les fotes sur les articles déjà écrits, vous les renvoyer pour accord (des fois qu'il y en ait qui pensent que mes corrections changent le sens de ce qu'ils écrivent), éventuellement on travaille à une mise en page et après on imprime - il s'agit pas de gâcher le papier et l'encre! En attendant, chose promise... j'ai pondu ça ce matin, j'en suis pas très content, le sujet est vaste et je veux pas faire trop long, enfin dites moi si ça vous parait intéressant et n'épargnez pas vos critiques:

pseudo-démocratie et exclusion des masses du pouvoir

République, démocratie, pluralisme, liberté… Les mots sont beaux, les idées nobles, le peuple est roi… Et pourtant ? Quel pouvoir avons-nous, nous les citoyens lambda des Etats qui prétendent nous représenter ?
A l’origine, le terme de démocratie désignait un système dans lequel tous les citoyens d’une communauté rendaient des décisions à l’issue d’un vote effectué de façon égalitaire au sein d’une assemblée. A petite échelle, ça fonctionne. Aujourd’hui, des citoyens d’un État, qui ne se connaissent pas, élisent des représentants appelés à exercer le pouvoir d’État en leur nom.

L’élu représente une partie des citoyens, souvent à peine plus de la moitié … de ceux qui ont pu ou voulu voter pour qu’il transmette leurs volontés, leurs désirs sociaux et politiques. Faisons le calcul, tel ou telle élu ne serait en fait que le porte-voix d’une minorité de la population qu’il/elle est censé représenter. Et que fait cette personne qui concentre ce pouvoir ? Elle obtient des alliances, des appuis, bref plus de pouvoir en compensation de l’ « aménagement » des idées qu’elle représente, enfin disons sans langue de bois de la trahison de ses électeurs. Là, c’est le côté visible de la vie des élus, côté obscur ça bidouille les votes, ça touche des pots-de-vin, ça place les copains, ça ripaille entre soi sur le dos des gogos.

Côté élu local, celui que « nous » avions élu pour qu’il obtienne un abri pour que les gamins qui sortent de l’école publique n’attendent pas le bus sous l’averse, pour que le cinéma du coin ne ferme pas, pour que des familles mal logées passent l’hiver au chaud, etc… Où sont passées ses promesses?

Côté élu national, c'est curieux, aucun représentant ne correspond à nos idées... Les médias nous présentent pourtant une pseudo-étendue des « sensibilités politiques ». La quasi totalité d’entre elles vient d’un plat unique, le capitalisme, recouvert d’un nappage : glacis nationaliste, mayonnaise social-démocrate, sauce sécuritaire, coulis populiste…
Quelques partis se revendiquent d’idéologies non capitalistes. Mais leur présence sur « l’échiquier politique » du pays signe leur renoncement à un réel désir de changement : ils savent qu’exclus du pouvoir réel, ils participeront seulement au « jeu politique ». En tant que grains de sable ou bouffons, mais jamais comme décideurs. Le système majoritaire concentre le pouvoir politique dans les mains de ceux qui perpétuent le système en place. Les « petits partis » sont disqualifiés avant même d’entrer dans la course.

Des votes n’ont jamais changé les choses, mais des combats menés par des femmes, par des prolos, par des étudiants, ont conduit à des victoires. Parce que ça a réveillé les consciences, les tolérances, les sympathies, et que la force du nombre a contraint « les représentants du peuple » à accepter quelques changements. Oh, rien qui ne mette en péril le système, qui, rappelons le, se base sur l’exploitation de l’homme par l’homme, donc sur l’inégalité. Il faut voir l’habileté des élus à récupérer les idées de leurs ennemis, à n’en garder que les symboles et à les vider de leur sens. Oui, la femme peut porter un pantalon (légalisation en 1966 en France), mais son salaire est inférieur à celui des hommes à travail égal ; oui, des prolos peuvent autogérer leur usine, mais si ça marche bien, on leur confisque ; oui, des jeunes venus des banlieues peuvent entrer dans des grandes écoles, mais la pauvreté de beaucoup d’étudiants les obligent à travailler en même temps et en conséquence ils ratent leurs études…


Il est possible de vivre une démocratie directe, décentralisée, mais ce n’est pas celle qu’on nous propose. Il faut imposer nos volontés dans nos quartiers, au travail. Les politiciens ne répondent pas à nos besoins, assourdissons-les de nos revendications, revendiquons leur pouvoir. Nous ne transformerons pas pacifiquement la société capitaliste, car elle n’a en germe aucune des valeurs qui sont les nôtres et qu’elle affiche trompeusement. Se fier à la pseudo-démocratie, c’est renoncer à son pouvoir.

 

M'est avis qu'on ne devrait pas dire aux gens ce qu'ils ont à faire, appeler au boycott des urnes est à mon avis une mauvaise idée.

 

Deux choses me dérangent moi. Premièrement je ne pense pas que ça soit à nous d'appeler au boycott des urnes car les gens ne nous écouteraient pas.
Et deuxièmement le passage sur les homos : je pense que c'est un autre débat qui n'a pas sa place dans cet article.
Sinon le reste me va .

 

Changements opérés dans le texte posté plus haut...

 

Je pourrai éditer en format A3 - donc ça fera un journal format A4.
Voulez-vous que je reprenne l'orthographe des textes déjà en ligne sur ce forum et les reposte?

 

Pas besoin de les reposter...

 

Ouai perso j'te fais confiance aussi là-dessus

 

OK, et à part moi sur Nice, il y en a d'autres qui éditeront et diffuseront ailleurs?