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6 avril anniversaire de la mort de Louise Michel (1830-1905). Collection livres version PDF

Discussion dans 'Bibliothèque anarchiste' créé par Marc poïk, 4 Avril 2017.

  1. Marc poïk
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    Marc poïk Sous l'arbre en feuille la vie est plus jolie Membre actif

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    6 avril anniversaire de la mort de Louise Michel (1830-1905). Collection livres version PDF
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    Figure emblématique de la Commune de Paris. Cette insurrection populaire de 1871 réprimée sauvagement par les autorités. Bâtarde, institutrice, combattante, déportée en Nouvelle-Calédonie, mais aussi enragée et courageuse, éprise de liberté et d’absolu. Elle n’aura cessé de vouloir obstinément un monde meilleur, plus juste, et jamais elle ne renoncera à la révolution : Elle s’appelait Louise Michel
    LOUISE MICHEL : HUMANISME, REVOLUTION, LIBERTE. Les photos que l’on connait de Louise Michel montrent un visage un peu dur, fermé, fixe. Ce que l’image ne montre pas, c’est l’extraordinaire vivacité d’esprit, l’engagement sans faille, la multitude de combats que cette femme a menés tout au long de sa vie. Sortons de l’icône, détachons nous de l’imagerie pour rencontrer et accompagner une femme animée par un désir profond, viscéral, d’œuvrer pour que la société soit meilleure. L’Histoire, avec le H majuscule de rigueur, a gardé et entretenu le souvenir de la révolutionnaire ardente, figure fondatrice de la Commune et militante infatigable de l’Anarchisme, avec le A majuscule qui convient aussi. Il n’est pas question de proposer un exposé de spécialiste de Louise Michel : d’une part parce que je ne le suis pas, d’autre part parce que ce serait fossiliser son parcours et sa lutte, alors que sa pensée, son action me semblent toujours vivants et d’actualité. Présenter Louise Michel n’est pas facile : femme de lettres, pédagogue, ethnologue, militante révolutionnaire, combattante de terrain, anarchiste, fondatrice du mouvement de libération des femmes, son champ d’action est vaste et son idéal de liberté s’applique à tous les aspects de la société. Les combats et les engagements de Louise Michel sont multiples, mais sont tous les mises en œuvre d’une volonté unique : celle de voir progresser la société vers un monde de justice et de fraternité. Nous verrons donc comment cette jeune institutrice refuse très tôt toute forme de carcan, et se met au service du peuple pour son émancipation : Pour Louise Michel le progrès et l’émancipation passe par l’instruction pour tous, dans une école dégagée, enfin de la mainmise religieuse. Nous rencontrerons une femme de lettres, écrivain sensible, journaliste engagée, fille du romantisme de son époque. Bien sûr, nous l’accompagnerons dans son engagement révolutionnaire, puisque le changement passera par la révolution sociale et nous verrons que Louise Michel est aussi une militante libertaire d’un rigueur et d’une honnêteté sans faille, qui refuse toute forme de compromis et dénonce inlassablement le gout du pouvoir, y compris dans les rangs de ses compagnons de lutte. Pas de progrès social sans émancipation des femmes, Louise Michel reste une grande figure des combats féministes. Sa vie entière est vouée au combat pour un monde meilleur, et sa façon de combattre, qui mêle connaissance, humanisme et lutte de terrain, reste unique. Louise Michel est une femme qui vit, qui réfléchit, qui apprend, et qui construit. Pour cela elle n’est pas que l’image d’une utopie, mais une pensée toujours vivante, dont l’écho garde une résonnance majeure, et toujours d’actualité, dans les enjeux politiques et sociaux que nous vivons, un exemple atypique et riche d’enseignement pour les contemporains que nous sommes. Louise Michel à 9 ans Une enfance particulière Louise Michel reste un destin unique dans la série des personnes ayant compté, principalement en raison de sa très grande indépendance et d’un sens aigu de la liberté. Atypique, elle l’est dès sa naissance : « Je suis ce que l’on appelle une bâtarde », dit – elle dans ses mémoires. Louise voit le jour le 29 mai 1830 au château de Vroncourt, en Haute Marne. Elle est la fille de Marianne Michel, servante au château, et du maître des lieux, Etienne Charles de Mahis, ou de son fils, Laurent. Quoiqu’il en soit et aussi curieux que cela paraisse pour l’époque, Monsieur De Mahis garde la mère et l’enfant chez lui, et élève Louise comme sa propre fille. Son éducation est basée essentiellement sur la culture et la liberté : elle court les champs et les bois à sa guise, et Monsieur de Mahis, héritier des Lumières, franc maçon, amoureux des lettres et des sciences humaines, la nourrit des textes des philosophes, de Voltaire surtout, et de poésie. Celui qu’elle appelle son grand père est un humaniste éclairé, nourri des principes républicains, qui vit paisiblement à la campagne. Son épouse a pour habitude de relater les événements familiaux sous forme de vers, et le grand père raconte l’épopée républicaine avec des accents voltairiens. Louise lit beaucoup, elle se passionne rapidement pour la littérature et compose des poésies, tout en observant la nature autour d’elle. La famille vit au milieu d’une véritable ménagerie, Louise possède même une chouette apprivoisée, et les veillées se déroulent au rythme des lectures et des discussions philosophiques et politiques. Très vite la petite manifeste une grande vivacité d’esprit, un sens aigu de la répartie et une conscience pointue des inégalités qu’elle peut observer dans la société paysanne qui l’entoure : les paysans qui cultivent le blé, dit elle n’ont souvent pas seulement de quoi faire du pain pour se nourrir eux-mêmes….Elle compose de petites pièces de théâtre qu’elle joue avec ses amis, et où bien souvent ils refont l’histoire en rétablissant les injustices, et en guillotinant bon nombre de betteraves et de choux qui font figure d’aristocrates… Le château de Vroncourt Elle parle de cette enfance bucolique avec nostalgie, et en gardera un grand sens de l’observation, un amour immodéré pour la littérature, ainsi qu’une curiosité permanente qu’elle peut assouvir sans entrave. Sans faire de déterminisme à la petite semaine, on peut y voir néanmoins le socle solide d’un esprit qui restera toujours prompt à connaître, à rencontrer, à douter comme à s’émerveiller, du monde humain comme du monde animal. Lorsqu’elle racontera ses souvenirs plus tard, Louise Michel expliquera qu’elle a gardé de cette époque une admiration pour les gens simples, et une sainte horreur des souffrances infligées aux animaux, qui reste pour elle la première des injustices. Elle gardera aussi un solide sens pratique, les envolées voltairiennes de Monsieur De Mahis étant souvent très éloignées des réalités matérielles et économiques. S’il est philosophe, il n’est pas gestionnaire et la famille est ruinée. Il ne restera absolument rien de la propriété de Vroncourt. En même temps que les de Mahis Louise rencontre aussi la famille de sa mère, qu’elle décrit comme de solides paysans animés d’une religiosité proches de la dévoterie, voire du mysticisme. Comme elle l’explique, « étrange impression que je ressens encore ! J’écoutais à la fois ma tante catholique exaltée et les grands parents voltairiens. Je cherchais, émue par des rêves étranges. Ainsi l’aiguille cherche le nord, affolée, dans les cyclones. Le Nord, c’était la Révolution. Ferré disait que j’étais une dévote de la révolution : c’était vrai. » ( Mémoires) Une enseignante visionnaire Depuis toujours, Louise veut enseigner. Elle prépare donc son examen d’institutrice, de sous maîtresse, qu’elle obtient à Chaumont en 1851. Elle commence ainsi une carrière d’enseignante qu’elle poursuivra tout au long de sa vie. La dimension pédagogique est indissociable de la vie de Louise Michel ; l’éducation, l’accès à l’instruction, la pédagogie et ses méthodes sont en effet des valeurs majeures pour elle. L’émancipation du peuple passe par son accès à l’instruction et à l’éducation, particulièrement pour les filles. Elle comprend très vite que l’école est un des axes de l’éveil des consciences citoyennes, et que l’école se doit de défendre les valeurs fondamentales de la république, et l’accès égal à l’éducation pour tous. Louise Michel s’attache autant à travailler sur les méthodes didactiques, qu’à faire évoluer la structure et le système scolaire. En pédagogie, elle est d’avant-garde par rapport aux instituteurs et institutrices de son époque. Elle travaille sur l’observation, en particulier l’observation de la nature, qu’elle organise au cours de sorties pédagogiques pour ses élèves. Ce type d’apprentissage, repris plus tard par Sébastien Faure, sera mis en application par Freinet, et Maria Montessori. Elle place l’individu élève au cœur de la préoccupation et le rend acteur de son apprentissage. Elle apporte des animaux dans sa classe, et fait valoir toutes les facettes de l’enseignement, en intégrant la musique, qu’elle connait bien et qu’elle pratique, et le dessin. Le souci de transmettre en respectant l’enfant et en l’amenant à être autonome est un souci constant, elle s’interrogera en permanence sur la façon d’apprendre, et fréquentera longtemps les cours du soir, afin de participer aux discussions sur l’évolution de la pédagogie. Pour être libre, il faut apprendre. Pour réfléchir et penser par soi même, il faut apprendre. En même temps qu’elle apprend aux autres, elle continue d’apprendre elle-même , jusqu’à la fin de sa vie, où elle sera initiée en franc maçonnerie, et deviendra apprentie à 72 ans…..La connaissance est pour elle une matière vivante, dynamique toujours en mouvement, opposée à la notion de savoir et de certitude fossile et assujettie à un pouvoir ou un régime politique et religieux. Elle ouvre une première école dite libre à Audeloncourt, près de son village natal. Libre c'est-à-dire non soumise à l’Empereur Napoléon III, à qui elle refuse de prêter serment et dégagée de toute autorité religieuse, en l’occurrence catholique : les enfants ont autre chose à faire que d’aller à la messe. Elle met un point d’honneur à leur faire chanter la Marseillaise, plutôt que des cantiques. Elle a le toupet de leur faire apprendre des poèmes de Victor Hugo, alors en exil, considéré comme un ennemi de la nation. Ses élèves sont les filles des agriculteurs et paysans des environs, et Louise fait survivre son école à grand peine…Ses prises de position ne plaisent ni aux parents, plutôt inquiets, ni aux autorités. Louise Michel est rapidement convoquée au rectorat, puis chez le Préfet, qui la menace du bagne à Cayenne. La réponse de Louise est nette, sans fioritures : « A Cayenne, il m’eut été agréable d’y établir une maison d’éducation, et ce serait me faire grand plaisir que de m’y envoyer, car je n’ai pas les moyens de m’offrir les frais du voyage. » (Mémoires). Affirmation prémonitoire : effectivement déportée en Nouvelle Calédonie après la répression de la Commune, elle trouvera le moyen, malgré des conditions difficiles, d’instruire les jeunes canaques, les enfants des Déportés et d’ouvrir une école pendant plusieurs années. Très vite, elle ouvre une autre école à Millières, avec son amie Julie, puis, fatiguée des tracasseries incessantes dues à ses prises de position, elle monte s’installer à Paris en 1856. Elle est d’abord institutrice dans une institution, l’Ecole de Mme Vollier, avec qui elle nouera des liens quasi filiaux, puis elle, à la mort de celle-ci, elle monte sa propre école pour les enfants du peuple, à Montmartre , neuf ans plus tard. Elle sait aussi que c’est à Paris que tout se passe, et que le souffle de la révolution gronde. Elle participe à de nombreuses réunions ouvrières, participera sans doute à la création de l’Internationale Ouvrière en 1864. Cette période est riche pour une jeune institutrice qui apprend après sa classe de la journée : elle se rend aux cours du soir, se met à l’algèbre, à la chimie, participe à de nombreuses discussions sur les progrès techniques en cours et rencontre tous les grands militants socialistes et anarchistes de l’époque : Blanqui, Vallès, Guesde, Sébastien Faure, Théophile Ferré…..On retrouve toujours cette dynamique, cette recherche, cette volonté d’amélioration et cette curiosité permanente. Elle crée de nombreuses écoles : celle de Montmartre pour les enfants de la rue, celle de la rue Haudecourt où elle enseigne à de jeunes ouvrières. Dans le Paris affamé par le siège des Prussiens elle organise une cantine pour ses petits élèves, et réclame du pain ou la mort à un gouvernement dépassé. C’est à cette occasion qu’elle rencontrera Clémenceau, qui restera un ami fidèle. Elle s’intéresse de près à la mise en place de l’enseignement professionnel. Elle organise une école lors de sa déportation en Nouvelle Calédonie, et en juillet 1890, sur le tard, lorsqu’elle part à Londres pour fuir les tracasseries policières, elle créera une école libertaire, qu’elle dirigera jusqu’en 1895. A chaque emprisonnement, et ils furent multiples, elle enseigne l’écriture et la lecture à ses codétenues, quelle que soit leur condition. Louise Michel et sa classe en nouvelle Calédonie Louise Michel ne supporte pas l’exclusion, sous aucune forme. Elle est du côté des opprimés, des victimes, et condamne un système qui exclut les malades, qui enferme les fous et les malades mentaux. Elle se révolte contre les dégâts de la prostitution générée par une immense misère, elle s’interroge sur la maladie mentale et la délinquance. Dans Le Livre du Bagne, on voit l’intérêt que Louise portait à la grande famille indéfinie et confuse des anormaux. (Michel Foucault).Elle ne fait pas que s’interroger, et propose des solutions, des réponses en examinant de près les conduites à adopter, elle propose des solutions pour éveiller la conscience de ceux qui sont classés comme des fous et des idiots. Enfin, elle dénonce la mainmise de l’Eglise sur l’école et affirme ses positions anticléricales. Les futurs citoyens doivent pouvoir s’instruire en étant libérés du parasitisme religieux, et elle défend une école où l’on exalte la dignité du peuple, au lieu de développer son humilité. Elle mettra toujours ses idées en application, malgré les nombreuses tracasseries policières, les dénonciations et les arrestations. C’est un ardent défenseur de la laïcité, et elle dénonce sans relâche, à travers ses nombreux articles, l’omniprésence du clergé et l’hypocrisie du système clérical occidental. Une femme de lettres, une journaliste engagée Or ses articles et ses écrits sont nombreux, et fréquents. Louise Michel écrit depuis son enfance, et même si il nous reste peu de choses de son œuvre, il faut prendre en compte sa dimension d’écrivain. Enfant, elle entame une histoire Universelle. Très tôt, dès ses premiers pas d’institutrice, elle compose des articles pour des journaux. Nous distinguerons deux aspects de travail d’écrivain : d’abord la littérature, qui a une très grande place dans sa vie. Initiée par Mr de Mahis à la poésie et à la littérature, Louise Michel découvre et se passionne pour les romans de Victor Hugo, avec qui elle entretiendra très vite une riche correspondance, de 1850 à 1879. Elle lui envoie des textes et des essais, des débuts de romans, des lettres et des chroniques durant son exil. Il lui répond, et Hugo restera une passion pour Louise. Il dédiera un poème à celle qu’il appelle Aria La Romaine, ou Judith la sombre juive, intitulé Viro Major, qu’il lui adressera après la Semaine sanglante de la Commune de Paris. Toute sa vie, elle écrira de la poésie : on retiendra entre autres un texte intitulé la Marseillaise Noire, et le poème les œillets rouges qu’elle enverra à son cher Théophile FERRE avant son exécution. En 1862 elle est sociétaire de l’Union des Poètes. Louise Michel est évidemment une femme de son temps, elle s’inscrit dans le style lyrique et romantique du XIXème siècle. On connaît la romancière, auteure de la Fille du peuple, ou de la Misère, publié sous forme de feuilleton après son retour de Nouméa et qui remportera un vif succès ainsi que de nombreux livres pour enfants, à qui elle destine un recueil de contes et légendes. On y ajoutera son travail de poète, dont il reste des traces en particulier un recueil intitulé Fleurs et Ronces, et de nombreux poèmes et chansons dédiés à la Commune et à ses combattants. Mais Louise Michel édite aussi des travaux ethnographiques. Lors de sa déportation en Nouvelle Calédonie, elle va à la rencontre du peuple Canaque, et consigne leurs habitudes, coutumes et traditions, qu’elle publiera dans ses légendes et chansons de geste canaques, publié en 1875 à Nouméa. Elle a gardé de son enfance une curiosité saine, dénuée d’exotisme ou d’une quelconque condescendance, pour l’autre en général, du peuple paysan de la Haute Marne aux autochtones de Nouvelles Calédonie. Elle apprend le canaque, en fait un répertoire, constitue un recueil botanique des espèces qu’elle observe sur l’île. +Cette volonté de connaître le peuple Canaque déroutera ses compagnons d’infortune, qui n’ont pas forcément un rapport très clair avec la colonisation et les autres peuples qu’ils considèrent parfois comme inférieurs. On retrouve là l’intégrité absolue de Louise Michel, son indépendance d’esprit et sa cohérence : tout être humain a droit au respect, à la dignité et à la liberté. Elle consigne de la même façon les traditions et les coutumes observées dans la campagne de son enfance, et étudie les différents contes et croyances populaires de la Haute-Marne . Elle publiera ses souvenirs dans trois ouvrages : ses Mémoires, publiées en 1886, La Commune, Histoire et souvenirs, publié en 1898, l’Ere nouvelle, pensées dernières, Souvenirs de Calédonie…. Néanmoins, à la lecture de ses mémoires, des mémoires de la commune, on retiendra la plume particulièrement acérée et pertinente de Louise Michel. Sous les effets de style, elle manie le verbe et l’idée. Elle mettra ce talent au service de son travail de journaliste. Lors de son arrivée à Paris, et aux cours du soir qu’elle fréquente, aux réunions auxquelles elle participe dans ce Paris où s’éveillent les pensées anarchiste et socialiste, elle rencontre tous les penseurs du mouvement révolutionnaire ouvrier: Jules Vallès, Auguste Blanqui, Proudhon, Emile Eudes, Jules Guesde, Théophile Ferré qu’elle aimera passionnément….Elle participe à de nombreuses publications , avec des collaborations régulières au Cri du Peuple, le Journal de Jules Vallès. Elle collabore à de nombreux journaux d’opposition, en signant du pseudonyme Enjolras, et se révèle une talentueuse pamphlétaire pendant la Commune. En 1895, à son retour de Londres, elle fonde le journal le Libertaire, avec Sébastien Faure. Après son retour triomphal de déportation en novembre 1880, elle reprend son activité de militante et de conférencière et rédige de nombreuses conférences et interventions. Malgré l’échec et la répression sanglante de la commune en 1871, malgré une troisième république qui restreint les libertés individuelles avec les lois scélérates en 1893, Louise Michel poursuit inlassablement son combat pour la liberté et l’émancipation des peuples, et devient une propagandiste anarchiste infatigable.

    La commune: Louise Michel version PDF: http://classiques.uqac.ca/classiques/michel_louise/la_commune/michel_la_commune.pdf
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    MÉMOIRES DE LOUISE MICHEL ÉCRITS PAR ELLE-MÊME Louise Michel PDF : http://www.bibebook.com/files/ebook...res_de_louise_michel_ecrits_par_elle-meme.pdf
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    La misère
    par Louise Michel; gravures de J.Tinayre PDF: Fichier PDF La_misère___par_Louise_[...]Michel_Louise_bpt6k243036.pdf
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    contes et légendes par Louise Michel PDF: Fichier PDF michel_contes-et-legendes.pdf
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    [URL='http://pdf.lu/yuBj'][/URL]
    Louise Michel, la rebelle Film : Film - Louise Michel, la rebelle (2008) de Solveig Anspach - Nouveau lien !
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    En complément une émission radio de France inter sur Louise
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